A Furiani, SC Bastia : 1 Lille : 1 (0-1)
Buts pour le Sporting : Khazri (85e), pour Lille : Kalou (32e)
Arbitre : M. Duhamel
Avertissements : Khazri (41e) au SCB ; Souare (73e) à Lille
SCB :
Landreau, Cahuzac, Romaric, Modesto, Harek, Yatabare, Sable puis Keita (72e), Boudebouz, Bruno puis Cissé (72e) Ilan puis Raspentino (61e), Khazri
Lille :
Enyema, Beria, Kjaer, Basa, Souaré, Mavuba, Balmont, Martin puis Meité (71e), Gueye, Roux, Kalou
M. Duhamel et le SCB, c'est déjà une longue histoire.
Vendredi soir à Furiani l'arbitre, avec l'aide de son assistant qui a bien hésité avant de lever son drapeau, en a écrit une page supplémentaire en ne validant pas ce but de Florian Raspentino parfaitement valable au terme d'une déviation qui c'est vrai n'avait rien d'académique mais qui n'en avait pas moins trompé la vigilance de Enyema pour la deuxième fois de la soirée.
Jusque-là Furiani, comme trop souvent cette saison, était resté sur sa faim.
Il pensait avoir là une bonne occasion d'exploser et de se laisser éclater à sa joie à la première victoire de son équipe favorite face à une grosse cylindrée du championnat.
Mais non. Pas de but. Et pas de victoire pour le Sporting.
On vous laisse imaginer la bronca qui descendit des tribunes un peu moins garni que d'habitude - mauvais temps et jour de semaine obligent - et de la rage que manifestèrent les partenaires de François Modesto sur le terrain.
Et il y avait de quoi.
Certes le Sporting ne s'était pas montré jusque-là sous son meilleur jour et Lille s'était montré supérieur dans le jeu, ce qui est somme toute logique au regard du classement des deux équipes, mais on sait bien que le résultat d'un match de football n'a que faire de ce genre de considérations et que parfois il suffit de quelques secondes pour faire basculer un match dont le résultat paraissait acquis.
Cette fin de match en fut une nouvelle et parfaite illustration.
En tout cas quand, la demi-heure de jeu passée et après trois occasions bastiaises successives sur corner Balmont entreprit de mener le contre pour lancer Roux devant lui on comprit, au très beau geste de Kalou, que Lille était venu à Furiani pour assurer sa troisième place.
L'Ivoirien qui crochète et enroule son tir du droit, pour placer le ballon dans le petit filet opposé : c'est beau à voir et bon pour le moral des visiteurs.
Difficile, dès lors, au Sporting qui n'est pas dans ses meilleures dispositions, d'aller bousculer un bloc lillois dont le jeu basé sur les contres qui pour n'être pas très spectaculaire n'en est pas moins efficaces.
Le match se poursuivit de la sorte jusqu'à la 85e minute quand Raspentino, sur le couloir droit, ajustait un centre dosé au point de penalty, où Khazri surgissait et croisait sa tête.
C'était l'égalisation que le Sporting et Furiani n'espéraient plus!
La suite ?
On la connaît ?
Furiani, soudain revigoré, et le Sporting qui poussent.
Sur le terrain Boudebouz décale Cissé qui dans la surface, frappe en force, Raspentino est sur la trajectoire et inscrit le but d'une déviation peu académique!
Furiani explose alors. Cissé et Raspentino, qui crient leur join enlèvent leur maillot.
Mais M. Duhamel ramène tout le monde à la triste réalité : le but est refusé pour un hors-jeu - imaginaire - de Raspentino !
La colère descend alors des tribunes et se manifeste sur le terrain.
Non. M. Duhamel ne s'est pas fait des amis à Furiani vendredi soir.
Bilan de la soirée : Lille ne ne parvient pas à officialiser sa troisième place, quand au Sporting il est privé de sa dernière occasion de battre une équipe du top 5 de la Ligue 1 !
Buts pour le Sporting : Khazri (85e), pour Lille : Kalou (32e)
Arbitre : M. Duhamel
Avertissements : Khazri (41e) au SCB ; Souare (73e) à Lille
SCB :
Landreau, Cahuzac, Romaric, Modesto, Harek, Yatabare, Sable puis Keita (72e), Boudebouz, Bruno puis Cissé (72e) Ilan puis Raspentino (61e), Khazri
Lille :
Enyema, Beria, Kjaer, Basa, Souaré, Mavuba, Balmont, Martin puis Meité (71e), Gueye, Roux, Kalou
M. Duhamel et le SCB, c'est déjà une longue histoire.
Vendredi soir à Furiani l'arbitre, avec l'aide de son assistant qui a bien hésité avant de lever son drapeau, en a écrit une page supplémentaire en ne validant pas ce but de Florian Raspentino parfaitement valable au terme d'une déviation qui c'est vrai n'avait rien d'académique mais qui n'en avait pas moins trompé la vigilance de Enyema pour la deuxième fois de la soirée.
Jusque-là Furiani, comme trop souvent cette saison, était resté sur sa faim.
Il pensait avoir là une bonne occasion d'exploser et de se laisser éclater à sa joie à la première victoire de son équipe favorite face à une grosse cylindrée du championnat.
Mais non. Pas de but. Et pas de victoire pour le Sporting.
On vous laisse imaginer la bronca qui descendit des tribunes un peu moins garni que d'habitude - mauvais temps et jour de semaine obligent - et de la rage que manifestèrent les partenaires de François Modesto sur le terrain.
Et il y avait de quoi.
Certes le Sporting ne s'était pas montré jusque-là sous son meilleur jour et Lille s'était montré supérieur dans le jeu, ce qui est somme toute logique au regard du classement des deux équipes, mais on sait bien que le résultat d'un match de football n'a que faire de ce genre de considérations et que parfois il suffit de quelques secondes pour faire basculer un match dont le résultat paraissait acquis.
Cette fin de match en fut une nouvelle et parfaite illustration.
En tout cas quand, la demi-heure de jeu passée et après trois occasions bastiaises successives sur corner Balmont entreprit de mener le contre pour lancer Roux devant lui on comprit, au très beau geste de Kalou, que Lille était venu à Furiani pour assurer sa troisième place.
L'Ivoirien qui crochète et enroule son tir du droit, pour placer le ballon dans le petit filet opposé : c'est beau à voir et bon pour le moral des visiteurs.
Difficile, dès lors, au Sporting qui n'est pas dans ses meilleures dispositions, d'aller bousculer un bloc lillois dont le jeu basé sur les contres qui pour n'être pas très spectaculaire n'en est pas moins efficaces.
Le match se poursuivit de la sorte jusqu'à la 85e minute quand Raspentino, sur le couloir droit, ajustait un centre dosé au point de penalty, où Khazri surgissait et croisait sa tête.
C'était l'égalisation que le Sporting et Furiani n'espéraient plus!
La suite ?
On la connaît ?
Furiani, soudain revigoré, et le Sporting qui poussent.
Sur le terrain Boudebouz décale Cissé qui dans la surface, frappe en force, Raspentino est sur la trajectoire et inscrit le but d'une déviation peu académique!
Furiani explose alors. Cissé et Raspentino, qui crient leur join enlèvent leur maillot.
Mais M. Duhamel ramène tout le monde à la triste réalité : le but est refusé pour un hors-jeu - imaginaire - de Raspentino !
La colère descend alors des tribunes et se manifeste sur le terrain.
Non. M. Duhamel ne s'est pas fait des amis à Furiani vendredi soir.
Bilan de la soirée : Lille ne ne parvient pas à officialiser sa troisième place, quand au Sporting il est privé de sa dernière occasion de battre une équipe du top 5 de la Ligue 1 !
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