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Le Sporting rejoint sur la fin à Caen (1-1)


(Cp) le Samedi 20 Décembre 2014 à 21:16

Le Sporting qui avait la possibilité de l'emporter à Caen - il a mené jusqu'à un quart d'heure de la fin - a dû finalement se contenter d'un partage des points (1-1). Un résultat certes bon à prendre, mais qui n'arrange pas véritablement ses affaires à l'heure de la trêve.



Le Sporting rejoint sur la fin à Caen (1-1)
A Caen, SM Caen : 1 SC Bastia :1 (0-1)
Buts pour Caen : Ferret (73e), pour Bastia : Kamano (21e)
Arbitre : M. Millot
Avertissements :  Koïta (48e) à Caen, Marange (34e), Kamano (66e), Tallo (88e) à Bastia 
SM Caen
Vercoutre, Seube, Yahia, Da Silva, Appiah, Koita, Kanté, Saez, Adeoti, Bazile puis Nangis (67e), Duhamel puis Privat (82e)
SC Bastia
Areola, Diakité, Squaillaci, Modesto, Marange, Cahuzac, Gillet, Palmieri, Boudebouz puis Keita (90e), Kamano puis Tallo (66e), Ayité.


Il s'en est fallu d'un petit quart d'heure.
En effet à un quart d'heure près le Sporting aurait pu repartir de Caen avec les trois points du succès qui aurait pu éclaircir un peu plus son horizon en Ligue 1.
Malheureusement quand Kanté sur son côté gauche a centré Guillaume Gillet n'a pas pu s'opposer à la tentative du caennois, dès lors Féret venu de l'arrière avait toute facilité pour remettre les deux équipes à égalité.
En effet, le Sporting de Bastia menait jusque-là 1 à 0 depuis la 21e minute quand Kamano s'est trouvé à point nommé pour reprendre de la tête une première tête de Squillaci qui, consécutive à un corner de Boudebouz, avait fini sur la transversale de Vercoutre.
Cela ne pouvait pas mieux commencer pour le Sporting qui après son succès face à ce même adversaire en coupe de la Ligue, avait engrangé un énorme capital confiance.
Revenue ainsi dans le match l'équipe locale s'est mise alors à pousser on la vit même monter d'un cran et mettre davantage de pression sur le camp bastiais mais c'était quand même Tallo puis Boudebouz qui, à défaut d'être dangereux, se montraient les plus actifs …
Pourtant le geste de la fin du match fut à mettre au crédit de Areola qui sauva sans doute son équipe de la défaite en détournant un centre de Koita qui aboutissiat à Féret qui frappait aussitôt mais au-dessus.
On en resta là, même si les caennais réclamaient, en vain, une main de Cahuzac.