C'est à un phénomène pour le moins surréaliste que les île-roussiens ont eu droit en ce lundi de Pâques.
Il était un peu plus de 12 heures en effet lorsque le vent qui soufflait déjà en rafales à 80 km/h s'est renforcé.
"On n'a pas l'habitude de voir un vent de ce type ici. C'est un vent qui vient du Nord" commente un île-roussien, avant que l'on assiste à une scène incroyable: " D'un seul coup le sable de la plage a été emporté par les bourrasques, avant d'envahir la promenade de A Marinella et tous les alentours. Heureusement que ce sable était humidifié par les vagues, sinon ça aurait été irrespirable" témoigne Antoine Allegrini, avant de poursuivre:
" La micheline qui repartait de la gare a été bloquée. Il a fallu faire appel à des employés des services techniques de la ville pour tenter de dégager la voie, ce qui n'est pas évident en ce jour de lundi de Pâques".
L'atmosphère est rapidement devenue irrespirable. La tempête de sable plaquait les gens contre le mur et les véhicules ont été contraints de changer de route.
Les île-roussiens ne sont pas prêts à oublier cet épisode venteux.
" J'ai 80 ans et je n'ai jamais vu ça de ma vie" ajoute un île-roussien qui n'en croit pas ses yeux.
Il était un peu plus de 12 heures en effet lorsque le vent qui soufflait déjà en rafales à 80 km/h s'est renforcé.
"On n'a pas l'habitude de voir un vent de ce type ici. C'est un vent qui vient du Nord" commente un île-roussien, avant que l'on assiste à une scène incroyable: " D'un seul coup le sable de la plage a été emporté par les bourrasques, avant d'envahir la promenade de A Marinella et tous les alentours. Heureusement que ce sable était humidifié par les vagues, sinon ça aurait été irrespirable" témoigne Antoine Allegrini, avant de poursuivre:
" La micheline qui repartait de la gare a été bloquée. Il a fallu faire appel à des employés des services techniques de la ville pour tenter de dégager la voie, ce qui n'est pas évident en ce jour de lundi de Pâques".
L'atmosphère est rapidement devenue irrespirable. La tempête de sable plaquait les gens contre le mur et les véhicules ont été contraints de changer de route.
Les île-roussiens ne sont pas prêts à oublier cet épisode venteux.
" J'ai 80 ans et je n'ai jamais vu ça de ma vie" ajoute un île-roussien qui n'en croit pas ses yeux.