Dans le cadre d'un jumelage "La Boule Calvaise", club de pétanque de la cité de Colomb s'est déplacé récemment au Maroc où il a reçu le meilleur accueil et au cours du quel des liens d'amitié se sont crées.
Aussi, l'occasion de l'International de Pétanque "Pascal-Paoli" qui se déroule ce week-end dans la ville voisine de l'Ile-Rousse était l'occasion pour le club calvais d'accueillir à son tour leurs amis marocains.
Si la première journée de ce périple corse a bien mal débuté avec un vol de Marseille annulé qui a contraint nos hôtes à arriver par Bastia avant de rejoindre Calvi bien après minuit, en revanche cette journée de vendredi était bien plus agréable pour la délégation marocaine composée du président du club El Fassi, MD Atmani, de Fouad Ngadi, président de la section pétanque et de M. Lahbabi, membre du comité et du président de la Ligue Atlass-Saiss de Pétanque Ali Belkacem.
Au cours de cette réception, le Président du Club El Fassi rappelait que le 15 juin dernier à Fès, un protocole d'échange et de partenariat a été signé avec le club de "La Boule Calvaise" présidée par François Luciani.
Ce jumelage s'est décidé lorsque la délégation calvaise composé de dirigeants et de licenciés a rendu une visite de coutoisie au Sporting Club Fassi.
" Il aura donc fallu beaucoup moins de temps que pour la venue au monde d'un enfant pour que nous soyons là aujourd'hui sur votre île" ajoutait non sans humour le représentant marocain.
Ange Santini, avec à ses côtés son Premier adjoint Ange Santini rappelait les liens qui unissent la Corse et le Maroc en faisant référence à une oeuvre de Marie-Josée Loverini: "L'interdite", une Sultane corse du Maroc. C'est l'histoire Marthe Franceshini, une jeune fille originaire de Corbara en Corse, enlevée par des pirates barbaresques, puis élevée à la cour alaouite. Devenue la sultane Dhâwiva, "la lumineuse", elle a connu un destin exceptionnel avant d'inspirer de nombreux récits, contes ou légendes enjolivés jusqu'a la fantasmagorie. Dans son village de Corbara où l'on peut encore voir la maison de son frère. Les siens l'appelaient Davia.
La commune de Corbara a donné son nom à sa marine.
L'oeuvre de Marie-Josée Loverini était offerte à chacun des hôtes, avant un traditionnel échange de cadeaux et remise de médaille.
Aussi, l'occasion de l'International de Pétanque "Pascal-Paoli" qui se déroule ce week-end dans la ville voisine de l'Ile-Rousse était l'occasion pour le club calvais d'accueillir à son tour leurs amis marocains.
Si la première journée de ce périple corse a bien mal débuté avec un vol de Marseille annulé qui a contraint nos hôtes à arriver par Bastia avant de rejoindre Calvi bien après minuit, en revanche cette journée de vendredi était bien plus agréable pour la délégation marocaine composée du président du club El Fassi, MD Atmani, de Fouad Ngadi, président de la section pétanque et de M. Lahbabi, membre du comité et du président de la Ligue Atlass-Saiss de Pétanque Ali Belkacem.
Au cours de cette réception, le Président du Club El Fassi rappelait que le 15 juin dernier à Fès, un protocole d'échange et de partenariat a été signé avec le club de "La Boule Calvaise" présidée par François Luciani.
Ce jumelage s'est décidé lorsque la délégation calvaise composé de dirigeants et de licenciés a rendu une visite de coutoisie au Sporting Club Fassi.
" Il aura donc fallu beaucoup moins de temps que pour la venue au monde d'un enfant pour que nous soyons là aujourd'hui sur votre île" ajoutait non sans humour le représentant marocain.
Ange Santini, avec à ses côtés son Premier adjoint Ange Santini rappelait les liens qui unissent la Corse et le Maroc en faisant référence à une oeuvre de Marie-Josée Loverini: "L'interdite", une Sultane corse du Maroc. C'est l'histoire Marthe Franceshini, une jeune fille originaire de Corbara en Corse, enlevée par des pirates barbaresques, puis élevée à la cour alaouite. Devenue la sultane Dhâwiva, "la lumineuse", elle a connu un destin exceptionnel avant d'inspirer de nombreux récits, contes ou légendes enjolivés jusqu'a la fantasmagorie. Dans son village de Corbara où l'on peut encore voir la maison de son frère. Les siens l'appelaient Davia.
La commune de Corbara a donné son nom à sa marine.
L'oeuvre de Marie-Josée Loverini était offerte à chacun des hôtes, avant un traditionnel échange de cadeaux et remise de médaille.