Simenon avait son Maigret, Léo Mallet son Nestor Burma, Jean-Marie Comiti mène lui les enquêtes avec l’inspecteur Cordilione.
« Quand les langues se délient » constitue les 3èmes aventures de ce policier boiteux et rusé de Palerme après « Invitation au trépas » (Albiana 2004) et « Un vendredi pas très sain à Bonifacio » qui se déroulait dans la Cité des Falaises dont est originaire l’auteur.
Dans ce dernier opus notre fin limier évolue encore dans un monde que connait bien Jean-Marie Comiti, professeur des Universités en sciences de l’éducation, à la retraite : l’Université de Corte.
Une série de meurtres atroces y est commise et met en émoi le campus de la fac de Lettres. Action, rebondissements, suspense insoutenable se combinent jusqu’au très surprenant dénouement final.
« Quand les langues se délient » constitue les 3èmes aventures de ce policier boiteux et rusé de Palerme après « Invitation au trépas » (Albiana 2004) et « Un vendredi pas très sain à Bonifacio » qui se déroulait dans la Cité des Falaises dont est originaire l’auteur.
Dans ce dernier opus notre fin limier évolue encore dans un monde que connait bien Jean-Marie Comiti, professeur des Universités en sciences de l’éducation, à la retraite : l’Université de Corte.
Une série de meurtres atroces y est commise et met en émoi le campus de la fac de Lettres. Action, rebondissements, suspense insoutenable se combinent jusqu’au très surprenant dénouement final.