"A l’issue de la déclaration de politique générale du Premier Ministre, Jean-Jacques Panunzi, président du Conseil général de Corse-du-Sud, prend acte de l’annonce faite du maintien des conseils généraux dans les départements ruraux et de l’organisation des élections départementales en mars 2015, tout en regrettant les atermoiements politiques et juridiques dans lesquels s’est enlisé le Gouvernement depuis qu’il s’est lancé dans un improbable Acte III de la décentralisation.
Refusant tout ce qui pourrait concourir à la dévitalisation de l’échelon départemental, et affaiblir ainsi la proximité, les solidarités et les services publics en Corse-du-Sud, Jean-Jacques Panunzi demeure vigilant quant aux conditions du maintien des conseils départementaux en zone rurale et au périmètre de leurs futures compétences que le Gouvernement doit prochainement préciser lors des « Assises nationales de la ruralité » puis dans le projet de loi sur la Nouvelle Organisation Territoriale de la République (NOTR).
Le président du Conseil général de Corse-du-Sud considère également cette annonce comme un fait nouveau important dont le Comité stratégique sur les institutions, mis en place par la CTC, doit tenir compte. Etant entendu qu’il appartiendra le cas échéant, in fine, aux élus des collectivités concernées mais aussi à la population de se prononcer."
Refusant tout ce qui pourrait concourir à la dévitalisation de l’échelon départemental, et affaiblir ainsi la proximité, les solidarités et les services publics en Corse-du-Sud, Jean-Jacques Panunzi demeure vigilant quant aux conditions du maintien des conseils départementaux en zone rurale et au périmètre de leurs futures compétences que le Gouvernement doit prochainement préciser lors des « Assises nationales de la ruralité » puis dans le projet de loi sur la Nouvelle Organisation Territoriale de la République (NOTR).
Le président du Conseil général de Corse-du-Sud considère également cette annonce comme un fait nouveau important dont le Comité stratégique sur les institutions, mis en place par la CTC, doit tenir compte. Etant entendu qu’il appartiendra le cas échéant, in fine, aux élus des collectivités concernées mais aussi à la population de se prononcer."