On le sait. Qui aime bien, châtie bien.
On peut, ici, vous porter aux nues. Et quelques semaines plus tard vous vouer aux gémonies.
Les exemples sont légion dans la longue vie du Sporting. Et nous en avons connus quelques-uns…Mais rassurez-vous nous n'allons aller dans notre fabuleuse armoire aux souvenirs.
Mais force est de reconnaître aujourd'hui que le divorce était consommé entre les supporters des "Bleus" et Claude Makelele. Mais pas seulement. Du côté de certains dirigeants aussi on commençait à grincer des dents…
Un divorce que l'on a célèbre, par avance, et à l'envi sur les réseaux sociaux avec toujours, ce qui n'est pas très élégant, des propos peu amènes à l'égard de l'ancien international.
Mais l'amour, on le sait aussi, est aveugle.
Ici, il n'y a que le Sporting qui compte. Les hommes n'y ont fait toujours que passer. Les uns pour le couvrir de gloire. D'autres, parce que très peu conscient de ce que le club représente, juste pour justifier un contrat…
Et le Sporting aujourd'hui va mal. Il est au cœur d'une énième tempête sportive qui risque de l'emporter par le fond, un sort dont nul ne veut entendre parler…
D'où le mécontentement général.
Envers l'équipe dirigeante
Envers l'entraîneur.
Envers nombre de joueurs.
Aussi était-il urgent d'agir. Essentiellement pour tenter de sauver ce qui peut encore l'être.
Mais comment ?
En renvoyant Makelele a ses études d'entraîneur débutant ? Mais pour le remplacer par qui ?
En mettant nombre de joueurs au pied du mur ? Mais cela sera-t-il suffisant pour remettre sur les bons rails un effectif qui, selon Makelele lui-même, ne compte qu'une douzaine de joueurs ayant le niveau de Ligue 1 ?
La réponse, provisoire, est survenue en début d'après-midi de lundi. Dans un bref communiqué le comité directeur du SCB informait "l’ensemble de ses supporters et ses partenaires qu’à compter de ce jour, M. Claude Makelele n’est plus l’entraîneur général du Sporting Club de Bastia.Dès lundi après-midi la séance d’entraînement a été assurée par Ghislain Printant et Hervé Sekli et ce jusqu’à la nomination du prochain entraîneur général."
On peut, ici, vous porter aux nues. Et quelques semaines plus tard vous vouer aux gémonies.
Les exemples sont légion dans la longue vie du Sporting. Et nous en avons connus quelques-uns…Mais rassurez-vous nous n'allons aller dans notre fabuleuse armoire aux souvenirs.
Mais force est de reconnaître aujourd'hui que le divorce était consommé entre les supporters des "Bleus" et Claude Makelele. Mais pas seulement. Du côté de certains dirigeants aussi on commençait à grincer des dents…
Un divorce que l'on a célèbre, par avance, et à l'envi sur les réseaux sociaux avec toujours, ce qui n'est pas très élégant, des propos peu amènes à l'égard de l'ancien international.
Mais l'amour, on le sait aussi, est aveugle.
Ici, il n'y a que le Sporting qui compte. Les hommes n'y ont fait toujours que passer. Les uns pour le couvrir de gloire. D'autres, parce que très peu conscient de ce que le club représente, juste pour justifier un contrat…
Et le Sporting aujourd'hui va mal. Il est au cœur d'une énième tempête sportive qui risque de l'emporter par le fond, un sort dont nul ne veut entendre parler…
D'où le mécontentement général.
Envers l'équipe dirigeante
Envers l'entraîneur.
Envers nombre de joueurs.
Aussi était-il urgent d'agir. Essentiellement pour tenter de sauver ce qui peut encore l'être.
Mais comment ?
En renvoyant Makelele a ses études d'entraîneur débutant ? Mais pour le remplacer par qui ?
En mettant nombre de joueurs au pied du mur ? Mais cela sera-t-il suffisant pour remettre sur les bons rails un effectif qui, selon Makelele lui-même, ne compte qu'une douzaine de joueurs ayant le niveau de Ligue 1 ?
La réponse, provisoire, est survenue en début d'après-midi de lundi. Dans un bref communiqué le comité directeur du SCB informait "l’ensemble de ses supporters et ses partenaires qu’à compter de ce jour, M. Claude Makelele n’est plus l’entraîneur général du Sporting Club de Bastia.Dès lundi après-midi la séance d’entraînement a été assurée par Ghislain Printant et Hervé Sekli et ce jusqu’à la nomination du prochain entraîneur général."
Qui pour succéder à Makelele ?
Il faudrait patienter au moins 48 heures avant de sa voir.
C'est ce qu'affirmait le club lundi soir.
"Le Sporting Club de Bastia s’étonne ce soir d’apprendre qu’il aurait proposé le poste d’entraîneur général à des personnes qui n’ont pourtant jamais été contactées.Le club juge inacceptable ces procédés d’une presse soit-disant « spécialisée » – mais uniquement avide de scoops fumeux – qui relèvent d’une désinformation caractérisée.L’identité des trois profils ciblés actuellement ne fera l’objet d’aucune communication avant le choix définitif qui sera effectué dans les 48 heures."
C'est ce qu'affirmait le club lundi soir.
"Le Sporting Club de Bastia s’étonne ce soir d’apprendre qu’il aurait proposé le poste d’entraîneur général à des personnes qui n’ont pourtant jamais été contactées.Le club juge inacceptable ces procédés d’une presse soit-disant « spécialisée » – mais uniquement avide de scoops fumeux – qui relèvent d’une désinformation caractérisée.L’identité des trois profils ciblés actuellement ne fera l’objet d’aucune communication avant le choix définitif qui sera effectué dans les 48 heures."
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