Manuel Valls s'exprimait pour la première fois après le discours tenu en langue corse par Jean-Guy Talamoni à la suite de son élection à la présidence de l'assemblée de Corse.
"Je discuterai avec le président de l'exécutif Gilles Simeoni sur ce qui était prévu depuis, déjà, un certain nombre de mois c'est à dire sur la collectivité unique de la Corse. Mais il y a en Corse des lignes rouges qui ne peuvent pas être discutées" a-t-il précisé.
Les lignes rouges ?
"L'amnistie des prisonniers politiques ? Il n'y a pas de prisonniers politiques."
La co-officialité ? Il n'y qu'une seule langue dans la République, c'est le Français."
"Un statut de résident pour les Corses, sur plan fiscal ? C'est contraire à la République."
"La Corse est dans la République, la Corse est dans la France, la langue c'est le Français et aucun discours, en Corse ou en Français ne pourra remettre en question ce lien" a souligné le Premier ministre.
Bref, un"circulez, il n'y a rien à voir" qui risque de faire grincer bien des dents…
"Je discuterai avec le président de l'exécutif Gilles Simeoni sur ce qui était prévu depuis, déjà, un certain nombre de mois c'est à dire sur la collectivité unique de la Corse. Mais il y a en Corse des lignes rouges qui ne peuvent pas être discutées" a-t-il précisé.
Les lignes rouges ?
"L'amnistie des prisonniers politiques ? Il n'y a pas de prisonniers politiques."
La co-officialité ? Il n'y qu'une seule langue dans la République, c'est le Français."
"Un statut de résident pour les Corses, sur plan fiscal ? C'est contraire à la République."
"La Corse est dans la République, la Corse est dans la France, la langue c'est le Français et aucun discours, en Corse ou en Français ne pourra remettre en question ce lien" a souligné le Premier ministre.
Bref, un"circulez, il n'y a rien à voir" qui risque de faire grincer bien des dents…