"On veut bâcler le PADDUC !
L’Exécutif propose de débattre du PADDUC dans la précipitation.
Le document de 3 000 pages, plus complexe que le traité de Maastricht, a été remis aux élus dans sa derrière version le lundi 13 octobre pour un examen le 30 ! Il y a manifestement une volonté d’expédier la discussion et le vote.
C’est un débat qui mérite une session dédiée de plusieurs jours car il faut laisser le temps à la discussion, à l’examen des amendements et aux explications de vote.
La majorité se décrédibilise en ajoutant au dossier PADDUC une liste conséquente de rapports dont celui de la commission des finances relatif au projet de réforme fiscale territoriale ou encore l’actualisation de la feuille de route de l’action économique.
De qui se moque-t-on ?
D’autant plus que tout le monde sait bien que cette session de deux jours, à la veille du week end de la Toussaint ne pourra se poursuivre le samedi 1er novembre, jour férié.
Que cache cette stratégie de la précipitation ?
L’avenir de la Corse et des corses mérite pourtant un débat serein et posé."
L’Exécutif propose de débattre du PADDUC dans la précipitation.
Le document de 3 000 pages, plus complexe que le traité de Maastricht, a été remis aux élus dans sa derrière version le lundi 13 octobre pour un examen le 30 ! Il y a manifestement une volonté d’expédier la discussion et le vote.
C’est un débat qui mérite une session dédiée de plusieurs jours car il faut laisser le temps à la discussion, à l’examen des amendements et aux explications de vote.
La majorité se décrédibilise en ajoutant au dossier PADDUC une liste conséquente de rapports dont celui de la commission des finances relatif au projet de réforme fiscale territoriale ou encore l’actualisation de la feuille de route de l’action économique.
De qui se moque-t-on ?
D’autant plus que tout le monde sait bien que cette session de deux jours, à la veille du week end de la Toussaint ne pourra se poursuivre le samedi 1er novembre, jour férié.
Que cache cette stratégie de la précipitation ?
L’avenir de la Corse et des corses mérite pourtant un débat serein et posé."