Déjà à la mise en place des deux banderoles " riposate in pace" avec le symbole rappelant les tragiques évènements de Paris et "Dume sempre fiancu a noi" à l'adresse de Dominique Albertini le regretté éducateur du club subitement disparu, des applaudissements nourris appelant au respect de l'instant à venir, ont parcouru Furiani.
Puis un silence. Un grand silence. Un silence assourdissant.
Et l'entrée des deux équipes, selon le protocole de la LFP, dans une arène sans voix. Rendue muette par l'émotion, palpable dès premiers accents de La Marseillaise respectés par toute l'assistance comme un seul homme.
Pas un mot. Point de sifflet. Point d'hostilité. Tout le monde avait à l'esprit les événements et les images de Paris. Les images de l'horreur et de la barbarie.
Le Diu Vi Salvi Regina est venu apporter lui aussi son supplément émotion à cet instant au terme duquel tout le monde s'apprêtait à vouer une fois de plus Furiani, la Corse et les Corses aux gémonies...
Mais une fois encore la réponse a été belle et forte.
Aussi belle et forte que ce ces 130 ballons blancs et ce ballon bleu qui après une longue minute d'applaudissements se sont envolés dans le ciel de Furiani pour porter un message de soutien à toutes les personnes fauchées dans les conditions que nul n'ignore plus.
Et tant pis pour tous ceux qui jubilaient, à l'avance, de nous montrer encore, et unanimement, du doigt !
L'unanimité ? Elle était corse dimanche !
Puis un silence. Un grand silence. Un silence assourdissant.
Et l'entrée des deux équipes, selon le protocole de la LFP, dans une arène sans voix. Rendue muette par l'émotion, palpable dès premiers accents de La Marseillaise respectés par toute l'assistance comme un seul homme.
Pas un mot. Point de sifflet. Point d'hostilité. Tout le monde avait à l'esprit les événements et les images de Paris. Les images de l'horreur et de la barbarie.
Le Diu Vi Salvi Regina est venu apporter lui aussi son supplément émotion à cet instant au terme duquel tout le monde s'apprêtait à vouer une fois de plus Furiani, la Corse et les Corses aux gémonies...
Mais une fois encore la réponse a été belle et forte.
Aussi belle et forte que ce ces 130 ballons blancs et ce ballon bleu qui après une longue minute d'applaudissements se sont envolés dans le ciel de Furiani pour porter un message de soutien à toutes les personnes fauchées dans les conditions que nul n'ignore plus.
Et tant pis pour tous ceux qui jubilaient, à l'avance, de nous montrer encore, et unanimement, du doigt !
L'unanimité ? Elle était corse dimanche !