Les téléspectateurs d’hier ont découvert grâce à la télévision appelée « fenêtre sur le monde » l’histoire et la géographie, les pays du monde, mais aussi leurs crises et leurs avancées économiques, sociales et politiques. Depuis la première émission chez une centaine de particuliers privilégiés possédant un poste de télévision en 1937, à l’inauguration de la seconde chaine en noir et blanc en 1964, jusqu’à la toute première émission télé en couleur en 1967 et la fin du monopole des chaînes publiques en 1984, les témoins de l’évolution du petit écran, sous tous ses aspects, sont riches d’anecdotes.
Michel Allal-Volterra est de ceux-là. Il a côtoyé des grands hommes de télé comme Pierre Sabbagh, Pierre Desgraupes, Léon Zitrone, Michel Drcucker et d’autres… Il témoignera dans l’émission de Lisa d’Orazio, « Storia Nustrale » de tout ce qu’il a vu et entendu à travers l’outil de la caméra et ses reportages. Il donnera aussi un avis éclairé sur la télé de ces trente dernières années.
Dès cette semaine sur Alta Frequenza, tous les jours de la semaine à 18h15 sur Alta Frequenza.
- Michel Allal Volterra vous définiriez quelles étapes de l’évolution de la télévision française ?
- J’en verrai trois. La première de 1955 à 1967, les émissions étaient fabriquées en pellicule film de 16 mm en noir et blanc ; puis de 1968 à 2000 avec l‘apparition de la couleur et les premiers pas de la vidéo. Le film disparaitra petit à petit. En 2000 la vidéo et les transmissions par satellite seront utilisés pour les reportages en direct, puis le numérique va bousculer tout ça
- Comment qualifieriez-vous la télévision d’aujourd’hui ? 3Si vous deviez repenser votre parcours journalistique que changeriez-vous ?
- Aujourd'hui la télévision ne bluffe plus personne On peut même avoir en direct la terre vue de l'espace et chacun peut même créer sa propre chaine avec des media comme YouTube. N’importe qui peut aujourd’hui transmettre en direct un évènement avec son smartphone et les chaines de télé en profitent quelquefois.
- Si vous deviez repenser votre parcours journalistique que changeriez-vous ?
- Essayer de faire respecter le plus possible l'objectivité et la vérité, surtout en politique ou les dirigeants ont toujours voulu s'emparer de ce media. Mais je crois que c'est peine perdue
Michel Allal-Volterra est de ceux-là. Il a côtoyé des grands hommes de télé comme Pierre Sabbagh, Pierre Desgraupes, Léon Zitrone, Michel Drcucker et d’autres… Il témoignera dans l’émission de Lisa d’Orazio, « Storia Nustrale » de tout ce qu’il a vu et entendu à travers l’outil de la caméra et ses reportages. Il donnera aussi un avis éclairé sur la télé de ces trente dernières années.
Dès cette semaine sur Alta Frequenza, tous les jours de la semaine à 18h15 sur Alta Frequenza.
- Michel Allal Volterra vous définiriez quelles étapes de l’évolution de la télévision française ?
- J’en verrai trois. La première de 1955 à 1967, les émissions étaient fabriquées en pellicule film de 16 mm en noir et blanc ; puis de 1968 à 2000 avec l‘apparition de la couleur et les premiers pas de la vidéo. Le film disparaitra petit à petit. En 2000 la vidéo et les transmissions par satellite seront utilisés pour les reportages en direct, puis le numérique va bousculer tout ça
- Comment qualifieriez-vous la télévision d’aujourd’hui ? 3Si vous deviez repenser votre parcours journalistique que changeriez-vous ?
- Aujourd'hui la télévision ne bluffe plus personne On peut même avoir en direct la terre vue de l'espace et chacun peut même créer sa propre chaine avec des media comme YouTube. N’importe qui peut aujourd’hui transmettre en direct un évènement avec son smartphone et les chaines de télé en profitent quelquefois.
- Si vous deviez repenser votre parcours journalistique que changeriez-vous ?
- Essayer de faire respecter le plus possible l'objectivité et la vérité, surtout en politique ou les dirigeants ont toujours voulu s'emparer de ce media. Mais je crois que c'est peine perdue
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