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Stade de la Mosson, Montpellier-Hérault : 3 SC Bastia : 1 (0-1)
Buts pour Montpellier : Barrios (69e) sur penalty, Mounier (72e) sur pénalty, Sanson (92e)
Pour le SC Bastia : Sio (35e)
Arbitre : M. Castro
Avertissements : Marveaux (87e) à Montpellier; Modesto ( 68e) Palmieri (70e) au Sporting
Exclusion :
Montpellier-Hérault
Jourdren - Congré, El Kaoutari, Hilton, Dabo - Mounier, Sanson, Saihi, Marveaux - Barrios puis Deplagne (75e) Bakar puis Martin (46e)
SC Bastia
Aréola - Palmieri, Modesto, Peybernes, Cioni - Cahuzac, Gillet Boudebouz puis Danic (79e)- Sio puis Maboulou (66e), Ayité, Kamano.
Entre Montpellier qui visait l'Europe et le Sporting de Bastia qui lui jouait pour assurer, plus simplement son maintien en Ligue 1, on ne s'est pas livré un grand match surtout en première période.
Mais il est vrai que l'enjeu lorsque l'on parvient à ce stade de la compétition n'a que faire du spectacle.
Et parce que dans ce match qui célébrait le 40e anniversaire de la naissance du club local, héraultais ont manqué incontestablement de la justesse dans leur jeu ils sont rentrés au vestiaires logiquement menés à la marque.
Pourtant d'entrée de jeu ce sont les gardiens, Jourden puis Areola, que l'on a surtout vu. Au terme d'une tentative de Barios consécutive à un hors-jeu puis à une frappe de Sio, elle aussi consécutive à une faute commise par l'Ivoirien du Sporting.
Mais le match aurait cependant virer à l'avantage des montpéllierains si M. Castro, sur l'excellente frappe du pied gauche de Mounier avait sanctionné d'un penalty la main volontaire de Cahuzac... Ou bien encore si Areola ne s'était détendu sur la droite après la frappe décochée depuis l'entrée de la surface de réparation par Bakar.
Mais à la demi-heure de jeu tout basculait. Avec au départ de l'action Kamano qui percutait sur la la droite et centrait à ras de terre dans l'axe. Ayité, du bout du pied, parvenait à lancer Giovanni Sio en profondeur. L'Ivoirien, hors-jeu, ne se privait pour autant de contourner Congré puis d'ajuster Jourdren pour ouvrir le score.
La Mosson pouvait faire justement la gueule après ce but qui aurait - logiquement ? - dû être refusé.
Au Sporting on ne s'en plaignait. Bien au contraire. Pour une fois que les décisions arbitrales lui sont favorables…
A la reprise les affaires locales ne s'amélioraient pas. Bien au contraire. Kamano, encore lui, toujours sur son même côté servait dans les meilleures conditions Boudebouz mais l'intérieur du pied gauche de l'Algérien ne trouvait pas le cadre.
Mais M. Castro, si peu inspiré en première période, allait encore faire des siennes en seconde mais cette fois au détriment du Sporting.
Vous avez sans doute vu comment.
La première fois à la 68e minute quand lancé sur la droite de la surface, Dabo s'écroulait après une légère charge d'Ayité. Une décision très sévère pour les Corses que Barrios s'empressait de concrétiser au tableau d'affichage !
Et une deuxième fois en sifflant une main involontaire dans la surface bastiaise. C'est Gillet sur une remise de la tête de Bérigaud qui était sanctionné. Incroyable !
En l'espace de quelques minutes M. Castro renvoyait le Sporting à ses chères études.
Du grand n'importe quoi, qui a quelque peu assommé l'équipe de Ghislain Printant, qui à l'image de Areola offrait le troisième but montpelliérain à Sanson dans le temps additionnel.
Voilà qui va contraindre le Sporting à, encore, cravacher pour obtenir ce qui est pour lui l'objectif essentiel : le maintien.
Mais nous vous en reparlerons après le 11 Avril.
Maintenant il y a le Stade de France qui nous tend les bras.
Osons espérer que la lfp aura désigné l'arbitre qu'il faut, au moment où il faut et à l'endroit où il faut.
Buts pour Montpellier : Barrios (69e) sur penalty, Mounier (72e) sur pénalty, Sanson (92e)
Pour le SC Bastia : Sio (35e)
Arbitre : M. Castro
Avertissements : Marveaux (87e) à Montpellier; Modesto ( 68e) Palmieri (70e) au Sporting
Exclusion :
Montpellier-Hérault
Jourdren - Congré, El Kaoutari, Hilton, Dabo - Mounier, Sanson, Saihi, Marveaux - Barrios puis Deplagne (75e) Bakar puis Martin (46e)
SC Bastia
Aréola - Palmieri, Modesto, Peybernes, Cioni - Cahuzac, Gillet Boudebouz puis Danic (79e)- Sio puis Maboulou (66e), Ayité, Kamano.
Entre Montpellier qui visait l'Europe et le Sporting de Bastia qui lui jouait pour assurer, plus simplement son maintien en Ligue 1, on ne s'est pas livré un grand match surtout en première période.
Mais il est vrai que l'enjeu lorsque l'on parvient à ce stade de la compétition n'a que faire du spectacle.
Et parce que dans ce match qui célébrait le 40e anniversaire de la naissance du club local, héraultais ont manqué incontestablement de la justesse dans leur jeu ils sont rentrés au vestiaires logiquement menés à la marque.
Pourtant d'entrée de jeu ce sont les gardiens, Jourden puis Areola, que l'on a surtout vu. Au terme d'une tentative de Barios consécutive à un hors-jeu puis à une frappe de Sio, elle aussi consécutive à une faute commise par l'Ivoirien du Sporting.
Mais le match aurait cependant virer à l'avantage des montpéllierains si M. Castro, sur l'excellente frappe du pied gauche de Mounier avait sanctionné d'un penalty la main volontaire de Cahuzac... Ou bien encore si Areola ne s'était détendu sur la droite après la frappe décochée depuis l'entrée de la surface de réparation par Bakar.
Mais à la demi-heure de jeu tout basculait. Avec au départ de l'action Kamano qui percutait sur la la droite et centrait à ras de terre dans l'axe. Ayité, du bout du pied, parvenait à lancer Giovanni Sio en profondeur. L'Ivoirien, hors-jeu, ne se privait pour autant de contourner Congré puis d'ajuster Jourdren pour ouvrir le score.
La Mosson pouvait faire justement la gueule après ce but qui aurait - logiquement ? - dû être refusé.
Au Sporting on ne s'en plaignait. Bien au contraire. Pour une fois que les décisions arbitrales lui sont favorables…
A la reprise les affaires locales ne s'amélioraient pas. Bien au contraire. Kamano, encore lui, toujours sur son même côté servait dans les meilleures conditions Boudebouz mais l'intérieur du pied gauche de l'Algérien ne trouvait pas le cadre.
Mais M. Castro, si peu inspiré en première période, allait encore faire des siennes en seconde mais cette fois au détriment du Sporting.
Vous avez sans doute vu comment.
La première fois à la 68e minute quand lancé sur la droite de la surface, Dabo s'écroulait après une légère charge d'Ayité. Une décision très sévère pour les Corses que Barrios s'empressait de concrétiser au tableau d'affichage !
Et une deuxième fois en sifflant une main involontaire dans la surface bastiaise. C'est Gillet sur une remise de la tête de Bérigaud qui était sanctionné. Incroyable !
En l'espace de quelques minutes M. Castro renvoyait le Sporting à ses chères études.
Du grand n'importe quoi, qui a quelque peu assommé l'équipe de Ghislain Printant, qui à l'image de Areola offrait le troisième but montpelliérain à Sanson dans le temps additionnel.
Voilà qui va contraindre le Sporting à, encore, cravacher pour obtenir ce qui est pour lui l'objectif essentiel : le maintien.
Mais nous vous en reparlerons après le 11 Avril.
Maintenant il y a le Stade de France qui nous tend les bras.
Osons espérer que la lfp aura désigné l'arbitre qu'il faut, au moment où il faut et à l'endroit où il faut.