«Après une période estivale riche en mauvais coups, place à la mobilisation pour faire reculer le gouvernement dans son entreprise de démolition du système de santé et de retraite, de l’éducation nationale et des services publics notamment avec la restructuration d’EDF et la privatisation d’Aéroport de Paris » a déclaré Michel Stefani, secrétaire régional du PCF. « En Corse, 1 ménage sur 2 ne possède rien, 8 sur 10 peuvent prétendre à un logement social, mais voilà la frénésie immobilière, qui frappe la Corse, est effectivement très spéculative et lucrative parce qu’elle répond aux critères d’une économie de rente liée au tourisme ».
Au sujet de l’échéance de mars 2020, le PCF est on ne peut plus clair . « Pour les communistes, l’union et la victoire ne sont possibles qu’à travers des choix politiques clairs. On a des principes et une morale politiques » explique Francis Riolacci, conseiller municipal communiste. « Avec le groupe radical présidé par Jean Zuccarelli, nous formerons, dès le 1er tour, une union cohérente, largement ouverte aux femmes et aux hommes de gauche, aux syndicalistes, aux citoyennes et citoyens engagés dans la vie sociale, aux progressistes, aux démocrates, aux républicains ».
Clair donc que le PC rejette la candidature de Jean-Sébastien de Casalta qui in fine a reçu le soutien du PRG et du MCD. « Alors qu’avec le parti radical et le MCD, nous étions partis sur une liste commune avec à sa tête, Jean Zuccarelli et François Tatti, le MCD a fait le choix de soutenir une personnalité hors de l’opposition municipale, très discrète sur la politique de la municipalité. Cette alliance n’offre aucune clarté. Nous, nous n’avons pas de parcours sinueux. Avec nous, les gens savent où ils vont » commente encore Francis Riolacci.
« Bastia est dans l’impasse, nous proposons une politique alternative » ajoute Michel Stefani. « Il y avait 4 composantes lors des discussions : PRG, Parti radical, MCD et communistes, il était logique que la tête de liste soit issue de l’une d’elles ».
Une primaire aura donc lieu à gauche en mars prochain à Bastia. Le PCF se dit toutefois ouvert à une alliance au second tour.
CNI a recueilli les propos de Michel Stefani sur les différents sujets de cette conférence de presse…
Au sujet de l’échéance de mars 2020, le PCF est on ne peut plus clair . « Pour les communistes, l’union et la victoire ne sont possibles qu’à travers des choix politiques clairs. On a des principes et une morale politiques » explique Francis Riolacci, conseiller municipal communiste. « Avec le groupe radical présidé par Jean Zuccarelli, nous formerons, dès le 1er tour, une union cohérente, largement ouverte aux femmes et aux hommes de gauche, aux syndicalistes, aux citoyennes et citoyens engagés dans la vie sociale, aux progressistes, aux démocrates, aux républicains ».
Clair donc que le PC rejette la candidature de Jean-Sébastien de Casalta qui in fine a reçu le soutien du PRG et du MCD. « Alors qu’avec le parti radical et le MCD, nous étions partis sur une liste commune avec à sa tête, Jean Zuccarelli et François Tatti, le MCD a fait le choix de soutenir une personnalité hors de l’opposition municipale, très discrète sur la politique de la municipalité. Cette alliance n’offre aucune clarté. Nous, nous n’avons pas de parcours sinueux. Avec nous, les gens savent où ils vont » commente encore Francis Riolacci.
« Bastia est dans l’impasse, nous proposons une politique alternative » ajoute Michel Stefani. « Il y avait 4 composantes lors des discussions : PRG, Parti radical, MCD et communistes, il était logique que la tête de liste soit issue de l’une d’elles ».
Une primaire aura donc lieu à gauche en mars prochain à Bastia. Le PCF se dit toutefois ouvert à une alliance au second tour.
CNI a recueilli les propos de Michel Stefani sur les différents sujets de cette conférence de presse…