En 2015, lorsqu'il passe pour la première fois devant le jury de The Voice 5, Casanova n'a qu'un rêve : vivre de sa passion, la musique. Les coachs ne se retournent pas mais ce n'est que le début d'une belle aventure pour le jeune pompier volontaire. En septembre, il s'inscrit à la Music Academy Internationale de Nancy, l'école de musique où intervient Bruno Berberes, directeur de casting pour The Voice. En 2018, le jeune chanteur du groupe Cirnese retente sa chance, franchit les étapes et termine en finale devant plus de 6 millions de téléspectateurs. Un peu plus d'un an après avoir foulé la scène de la célèbre émission, il revient sur son parcours, ses plus beaux souvenirs et son premier single "Nos antipodes" disponible dès aujourd'hui sur toutes les plateformes de téléchargement.
- Après l'émission qu'est-ce qui a changé pour toi ?
- The Voice m'a fait prendre un peu de confiance. Avant j'étais un peu timide mais on a beaucoup travaillé avec les coachs et ça m'a fait grandir. Après l'émission les gens me reconnaissaient, elle m'a donné beaucoup de visibilité. Puis il y a eu le "The Voice tour" où j'ai rencontré le public qui m'avait soutenu. Ça m'a beaucoup apporté.
- Cet été en concert tu as déjà présenté des titres à toi, comment ont-ils été reçus ?
- Quand t'arrives avec tes compos ça fait peur. Tu appréhendes la réaction des gens. J'ai pas voulu triché, je suis resté moi-même. Le public a apprécié, en tout cas il a dansé et j'ai eu de bons retours.
- Une date que tu retiens ?
- Les premières dates après l'émission, c'est la que j'ai compris la direction dans laquelle je voulais aller. Mais si je ne devais en retenir qu'une ce serait la première partie de Kendji à Brignoles. Le public a répondu présent c'était super.
- Et Cirnese ?
- En étant sur le continent je ne pouvais plus faire les deux. Je voulais me lancer seul mais je suis de près ce qu'ils font. Ce sont mes amis, je leur souhaite le meilleur.
Il y a des artistes qui t'inspirent ?
- Oui Brel, Stromae ou Slimane par exemple.
- "Nos antipodes" c'est quoi ?
- C'est un single sur les relations amoureuses et leurs complexités. Des fois il y a des relations compliquées à vivre et on rêve d'un endroit, un monde utopique où on pourrait vivre en harmonie. C'est ce que je dis dans cette chanson.
- Des situations que tu as vécues ?
- Oui c'est un album autobiographique. Comme tout le monde j'ai déjà vécu des relations amoureuses, amicales où ce n'était pas toujours tout rose.
- Tu as écrit et composé ?
- Oui la majeure partie des chansons mais on a aussi écrit pour moi. Pendant une semaine en février dernier nous sommes venus en séminaire ici pour écrire et composer une dizaine de titres. L'auteur, compositeur Mark Weld a écrit le titre "riche". Je tiens d'ailleurs à remercier Vincent Perez, qui a écrit une chanson sur le premier album de Slimane, Victor Duport, Jérôme Brulant, Théo mon arrangeur et mon manager Vitto D'errico.
- A quoi ressemblera l'album en préparation ?
- C'est un album autobiographique. C'était un choix, je me sens plus vivant quand je raconte mon histoire. Pour la musique, j'ai voulu garder l'esprit corse avec des guitares sèches, un accordéon et des trompettes. Les sonorités sont assez traditionnelles tout en restant modernes.
- Tu es un peu le Kendji corse non ?
- Ça serait très flatteur de dire ça (rire). Dans la musicalité il y a des ressemblances puis il chante de temps en temps en Espagnol et moi en Corse. Ma musique est un peu dans l'esprit de celle de Kendji et Claudio Capéo.
- Un style plutôt difficile à défendre ?
- Oui c'est vrai que ce n'est pas ce qu'on entend, la tendance est à la musique urbaine maintenant. C'est un véritable défi de proposer de la variété avec des sons traditionnels. Je fais les choses avec mon cœur et on verra comment vont les choses.
- Tu as très récemment signé avec le label Sony, comment ça s'est passé ?
- Au départ on avait prévu de sortir l'album en indépendant. Mais mon manager a eu un rendez-vous avec le label Sony. Il a présenté toutes les chansons du projet. Ils ont aimé mon travail et ont voulu travailler avec moi. C'est une chance d'avoir pu signer avec eux.
Son album devrait sortir au printemps 2020. Ce qui est sûr c'est qu'à CNI on suivra de très près Casanova !
Il a tenu a vous laisser un petit message en vidéo ...
- Après l'émission qu'est-ce qui a changé pour toi ?
- The Voice m'a fait prendre un peu de confiance. Avant j'étais un peu timide mais on a beaucoup travaillé avec les coachs et ça m'a fait grandir. Après l'émission les gens me reconnaissaient, elle m'a donné beaucoup de visibilité. Puis il y a eu le "The Voice tour" où j'ai rencontré le public qui m'avait soutenu. Ça m'a beaucoup apporté.
- Cet été en concert tu as déjà présenté des titres à toi, comment ont-ils été reçus ?
- Quand t'arrives avec tes compos ça fait peur. Tu appréhendes la réaction des gens. J'ai pas voulu triché, je suis resté moi-même. Le public a apprécié, en tout cas il a dansé et j'ai eu de bons retours.
- Une date que tu retiens ?
- Les premières dates après l'émission, c'est la que j'ai compris la direction dans laquelle je voulais aller. Mais si je ne devais en retenir qu'une ce serait la première partie de Kendji à Brignoles. Le public a répondu présent c'était super.
- Et Cirnese ?
- En étant sur le continent je ne pouvais plus faire les deux. Je voulais me lancer seul mais je suis de près ce qu'ils font. Ce sont mes amis, je leur souhaite le meilleur.
Il y a des artistes qui t'inspirent ?
- Oui Brel, Stromae ou Slimane par exemple.
- "Nos antipodes" c'est quoi ?
- C'est un single sur les relations amoureuses et leurs complexités. Des fois il y a des relations compliquées à vivre et on rêve d'un endroit, un monde utopique où on pourrait vivre en harmonie. C'est ce que je dis dans cette chanson.
- Des situations que tu as vécues ?
- Oui c'est un album autobiographique. Comme tout le monde j'ai déjà vécu des relations amoureuses, amicales où ce n'était pas toujours tout rose.
- Tu as écrit et composé ?
- Oui la majeure partie des chansons mais on a aussi écrit pour moi. Pendant une semaine en février dernier nous sommes venus en séminaire ici pour écrire et composer une dizaine de titres. L'auteur, compositeur Mark Weld a écrit le titre "riche". Je tiens d'ailleurs à remercier Vincent Perez, qui a écrit une chanson sur le premier album de Slimane, Victor Duport, Jérôme Brulant, Théo mon arrangeur et mon manager Vitto D'errico.
- A quoi ressemblera l'album en préparation ?
- C'est un album autobiographique. C'était un choix, je me sens plus vivant quand je raconte mon histoire. Pour la musique, j'ai voulu garder l'esprit corse avec des guitares sèches, un accordéon et des trompettes. Les sonorités sont assez traditionnelles tout en restant modernes.
- Tu es un peu le Kendji corse non ?
- Ça serait très flatteur de dire ça (rire). Dans la musicalité il y a des ressemblances puis il chante de temps en temps en Espagnol et moi en Corse. Ma musique est un peu dans l'esprit de celle de Kendji et Claudio Capéo.
- Un style plutôt difficile à défendre ?
- Oui c'est vrai que ce n'est pas ce qu'on entend, la tendance est à la musique urbaine maintenant. C'est un véritable défi de proposer de la variété avec des sons traditionnels. Je fais les choses avec mon cœur et on verra comment vont les choses.
- Tu as très récemment signé avec le label Sony, comment ça s'est passé ?
- Au départ on avait prévu de sortir l'album en indépendant. Mais mon manager a eu un rendez-vous avec le label Sony. Il a présenté toutes les chansons du projet. Ils ont aimé mon travail et ont voulu travailler avec moi. C'est une chance d'avoir pu signer avec eux.
Son album devrait sortir au printemps 2020. Ce qui est sûr c'est qu'à CNI on suivra de très près Casanova !
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