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La chanson « Cedrus Libani » témoigne avec habileté et sensibilité de l'histoire du Liban à travers ses cèdres. Ayant survécu à de nombreuses invasions et guerres, ils sont désormais devenus orphelins de leur monde, cherchant dans les affres une paix à reconstruire, un chemin à suivre.
Bien que Alain di Meglio, l’auteur de la chanson, ait écrit les paroles il y a un an, elles sont plus pertinentes que jamais aujourd’hui. Le sort apparemment maudit de ce pays semble prévisible, en proie à des troubles constants dus aux occupations étrangères et aux tourments politiques. En raison de sa position géographique, le Liban est contraint de lutter pour défendre inlassablement son identité et sa souveraineté.
La genèse du projet
Tout commença le jour où les deux délégations de la municipalité de Bonifacio et du parc Naturel régional de Corse ont visité le Liban, découvrant la Biosphère des Cèdres du Chouf dans le cadre du jumelage entre deux villes, Byblos et Bonifacio, d'une part, et le parc naturel régional de Corse et la Biosphère des Cèdres du Chouf d'autre part.
Pascale Ojeil, chanteuse et artiste engagée à l'origine de ces projets de jumelage, a repris l’hymne corse « Dio vi salvi regina » en reconnaissance envers la Corse et son peuple. Alain Di Meglio, maire adjoint de Bonifacio et écrivain, a souhaité marquer cette collaboration entre les deux peuples.
Sidéré par la beauté majestueuse des cèdres, Di Meglio n'a pas pu y rester indifférent. En hommage au Liban et à ses cèdres qui témoignent de son histoire millénaire, il a souhaité offrir un texte pour une chanson qui relate l'histoire poignante du Liban en langue corse.
La chanson « Cedrus Libani » a vu le jour aussi grâce à la générosité du compositeur Bruno Susini, compositeur de la chanson « Hosanna in excelsis », qui a remporté l'Eurovision des langues minoritaires en 2008 en Suède. Elle a été offerte à la chanteuse libanaise, Corse d'adoption, a qui la médaille de la ville de Bonifacio a été remise par le maire, Jean Charles Orsucci, et son adjoint, Alain Di Meglio.
Soutiens
Grâce à l'appui de Robert Virgitti, grand ami de la chanteuse libanaise, François Xavier Ceccoli, le président des Républicains de Haute-Corse, s'est engagé une fois de plus en tant que mécène, le projet a pu se concrétiser entre Paris, Prague, l'Espagne et le Liban. Le soutien inconditionnel de M. Ceccoli a permis à la chanteuse de chanter une chanson inédite patriotique, véhiculant les valeurs d’un message de paix.
L'association Energis Libani et la Biosphère des Cèdres du Chouf ont également apporté un soutien logistique essentiel à ce projet. La chanteuse libanaise a été épaulée par ses amis artistes, notamment l'arrangeur et ingénieur du son Laurent Binder, le chef d'orchestre Vartan Agopian, et la cinéaste-réalisatrice Marie-Rose Osta. Ses amis Adonis Hakim, Jauffrey Faustini et Karl Yazbeck ont également soutenu sa démarche visant à réaliser ce projet.
Pour Pascale, cette chanson est le fruit d'un travail collectif de Corses amoureux du Liban, qui ont manifesté leur affection indéfectible au fil des années, tout comme les Libanais qui continuent de croire en leur pays.
Bien que Alain di Meglio, l’auteur de la chanson, ait écrit les paroles il y a un an, elles sont plus pertinentes que jamais aujourd’hui. Le sort apparemment maudit de ce pays semble prévisible, en proie à des troubles constants dus aux occupations étrangères et aux tourments politiques. En raison de sa position géographique, le Liban est contraint de lutter pour défendre inlassablement son identité et sa souveraineté.
La genèse du projet
Tout commença le jour où les deux délégations de la municipalité de Bonifacio et du parc Naturel régional de Corse ont visité le Liban, découvrant la Biosphère des Cèdres du Chouf dans le cadre du jumelage entre deux villes, Byblos et Bonifacio, d'une part, et le parc naturel régional de Corse et la Biosphère des Cèdres du Chouf d'autre part.
Pascale Ojeil, chanteuse et artiste engagée à l'origine de ces projets de jumelage, a repris l’hymne corse « Dio vi salvi regina » en reconnaissance envers la Corse et son peuple. Alain Di Meglio, maire adjoint de Bonifacio et écrivain, a souhaité marquer cette collaboration entre les deux peuples.
Sidéré par la beauté majestueuse des cèdres, Di Meglio n'a pas pu y rester indifférent. En hommage au Liban et à ses cèdres qui témoignent de son histoire millénaire, il a souhaité offrir un texte pour une chanson qui relate l'histoire poignante du Liban en langue corse.
La chanson « Cedrus Libani » a vu le jour aussi grâce à la générosité du compositeur Bruno Susini, compositeur de la chanson « Hosanna in excelsis », qui a remporté l'Eurovision des langues minoritaires en 2008 en Suède. Elle a été offerte à la chanteuse libanaise, Corse d'adoption, a qui la médaille de la ville de Bonifacio a été remise par le maire, Jean Charles Orsucci, et son adjoint, Alain Di Meglio.
Soutiens
Grâce à l'appui de Robert Virgitti, grand ami de la chanteuse libanaise, François Xavier Ceccoli, le président des Républicains de Haute-Corse, s'est engagé une fois de plus en tant que mécène, le projet a pu se concrétiser entre Paris, Prague, l'Espagne et le Liban. Le soutien inconditionnel de M. Ceccoli a permis à la chanteuse de chanter une chanson inédite patriotique, véhiculant les valeurs d’un message de paix.
L'association Energis Libani et la Biosphère des Cèdres du Chouf ont également apporté un soutien logistique essentiel à ce projet. La chanteuse libanaise a été épaulée par ses amis artistes, notamment l'arrangeur et ingénieur du son Laurent Binder, le chef d'orchestre Vartan Agopian, et la cinéaste-réalisatrice Marie-Rose Osta. Ses amis Adonis Hakim, Jauffrey Faustini et Karl Yazbeck ont également soutenu sa démarche visant à réaliser ce projet.
Pour Pascale, cette chanson est le fruit d'un travail collectif de Corses amoureux du Liban, qui ont manifesté leur affection indéfectible au fil des années, tout comme les Libanais qui continuent de croire en leur pays.