La famille des pompiers est en deuil, sur le continent, mais également en Corse d'où était originaire Patricia Filippi, sapeur-pompier volontaire qui avait fait le choix de servir dans ce corps dont on ne dira jamais assez combien il est fidèle à sa devise "Sauver ou périr".
Dans la nuit de mercredi à jeudi, peu après deux heures du matin, alors que le feu d'une extrême violence, faisait rage sur les hauteurs faisait rage sur les hauteurs de Cerbere, dans les Pyrénées-Orientales, non loin de la frontière espagnole , les pompiers s'employaient à combattre avec force et courage avant que tout ne bascule dans l'horreur.
Un groupe de sapeurs-pompiers était pris au piège par le feu qui venait subitement de changer de direction . Malheureusement, une mère de famille d'une cinquantaine d'années, Patricia Filippi, sapeur-pompier volontaire au centre de secours du Boulou, devait succomber alors qu'elle combattait courageusement aux côtés de ses collègues. Impuissants, les pompiers en état de choc n'ont rien pu faire pour la sortir de ce piège meurtrier.
Aujourd'hui, on l'a dit, c'est la grande famille des pompiers qui, une fois encore, est en deuil et qui est plongée dans une immense tristesse.
Sur place, une cellule de soutien psychologique a été mise en place alors qu'une colonne supplémentaire de renfort était demandée afin de pouvoir assurer la relève des équipes très éprouvées par ce drame.
Le Premier ministre, Manuel Valls, a publié un tweet dans lequel il exprime son émotion.
« Profonde tristesse après le décès d'une sapeur -pompier à Cerbère. Elle restera pour tous un exemple de courage. Soutien à sa famille. »
Dans le même temps, le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve publiait un communiqué et annonçait sa venue en soirée sur les lieux du drame:
"M. Bernard Cazeneuve, ministre de l’Intérieur, adresse ses pensées en cet instant à ses trois enfants, à son époux et à tous ses proches et compatit à leur chagrin. Il leur adresse, au nom du Gouvernement, ses très sincères condoléances et les assure de mon soutien dans cette terrible épreuve.
Patricia Filippi est morte au feu, fidèle à la devise des sapeurs-pompiers : « Sauver ou périr ». Volontaire depuis 5 ans, elle avait fait le choix de consacrer une part de son temps libre à protéger et secourir nos concitoyens.
Ils sont près de 194 000 à avoir, comme elle, fait le choix de cet acte citoyen. Aujourd’hui en France, près des deux tiers des interventions sont assurées par des sapeurs-pompiers volontaires, aux côtés des sapeurs-pompiers professionnels. Sans eux, notre modèle français de secours et de sécurité civile ne serait pas ce qu’il est : un exemple d’efficacité, de professionnalisme et d’engagement, dont l’excellence est reconnue dans le monde entier.
Le Ministre de l’Intérieur exprime également sa sympathie à tous ses camarades sapeurs-pompiers du service départemental d’incendie et de secours des Pyrénées-Orientales : ceux qui étaient engagés avec elle sur le terrain ; ses collègues du centre d’incendie et de secours du Boulou et l’ensemble du corps départemental des Pyrénées-Orientales commandé par le Colonel Salles-Mazou".
Patricia Filippi qui avait grandi dans l'arrière pays niçois était d'origine corse.
Face à ce nouveau drame, la rédaction de Corse Net Infos, s'associe à l'ensemble des pompiers de Corse et présente à la famille de Patricia et à ses proches ses sincères condoléances.
Dans la nuit de mercredi à jeudi, peu après deux heures du matin, alors que le feu d'une extrême violence, faisait rage sur les hauteurs faisait rage sur les hauteurs de Cerbere, dans les Pyrénées-Orientales, non loin de la frontière espagnole , les pompiers s'employaient à combattre avec force et courage avant que tout ne bascule dans l'horreur.
Un groupe de sapeurs-pompiers était pris au piège par le feu qui venait subitement de changer de direction . Malheureusement, une mère de famille d'une cinquantaine d'années, Patricia Filippi, sapeur-pompier volontaire au centre de secours du Boulou, devait succomber alors qu'elle combattait courageusement aux côtés de ses collègues. Impuissants, les pompiers en état de choc n'ont rien pu faire pour la sortir de ce piège meurtrier.
Aujourd'hui, on l'a dit, c'est la grande famille des pompiers qui, une fois encore, est en deuil et qui est plongée dans une immense tristesse.
Sur place, une cellule de soutien psychologique a été mise en place alors qu'une colonne supplémentaire de renfort était demandée afin de pouvoir assurer la relève des équipes très éprouvées par ce drame.
Le Premier ministre, Manuel Valls, a publié un tweet dans lequel il exprime son émotion.
« Profonde tristesse après le décès d'une sapeur -pompier à Cerbère. Elle restera pour tous un exemple de courage. Soutien à sa famille. »
Dans le même temps, le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve publiait un communiqué et annonçait sa venue en soirée sur les lieux du drame:
"M. Bernard Cazeneuve, ministre de l’Intérieur, adresse ses pensées en cet instant à ses trois enfants, à son époux et à tous ses proches et compatit à leur chagrin. Il leur adresse, au nom du Gouvernement, ses très sincères condoléances et les assure de mon soutien dans cette terrible épreuve.
Patricia Filippi est morte au feu, fidèle à la devise des sapeurs-pompiers : « Sauver ou périr ». Volontaire depuis 5 ans, elle avait fait le choix de consacrer une part de son temps libre à protéger et secourir nos concitoyens.
Ils sont près de 194 000 à avoir, comme elle, fait le choix de cet acte citoyen. Aujourd’hui en France, près des deux tiers des interventions sont assurées par des sapeurs-pompiers volontaires, aux côtés des sapeurs-pompiers professionnels. Sans eux, notre modèle français de secours et de sécurité civile ne serait pas ce qu’il est : un exemple d’efficacité, de professionnalisme et d’engagement, dont l’excellence est reconnue dans le monde entier.
Le Ministre de l’Intérieur exprime également sa sympathie à tous ses camarades sapeurs-pompiers du service départemental d’incendie et de secours des Pyrénées-Orientales : ceux qui étaient engagés avec elle sur le terrain ; ses collègues du centre d’incendie et de secours du Boulou et l’ensemble du corps départemental des Pyrénées-Orientales commandé par le Colonel Salles-Mazou".
Patricia Filippi qui avait grandi dans l'arrière pays niçois était d'origine corse.
Face à ce nouveau drame, la rédaction de Corse Net Infos, s'associe à l'ensemble des pompiers de Corse et présente à la famille de Patricia et à ses proches ses sincères condoléances.