- Quel est, pour vous, l'enjeu de cette élection dans ce canton ?
- Dans ce canton comme dans les autres, l'enjeu est d'occuper le terrain afin d'y décliner les idées du Front National. Cette élection a pris avec l'engagement de Manuel Valls une dimension nationale évidente. Nous espérons donc que les électeurs de Corse comprendront qu’il doivent voter pour un avenir qui dépasse le simple intérêt local, et feront de leur vote une arme contre la décadence voulue par l’Etat socialiste.
- De quoi, selon vous, ce canton a-t-il besoin en priorité ?
- Il a besoin de sang neuf, et d'une autre politique, véritablement alternative. Les Corses demandent à ce qu'on leur reconnaisse enfin un droit prioritaire, et que ce soit leur intérêt et celui de leur famille qui constitue la priorité de ceux à qui ils auront confié leur avenir
- Sur quels thèmes faites-vous campagne ?
- Compte tenu des incertitudes pesant sur l'avenir de nos deux départements, nous savons qu'aucune proposition à caractère structurant ne pourra être menée à terme, car elle nécessite plus de temps que l'évolution institutionnelle insulaire ne nous en accorde. Tous les candidats qui en font mentent à leurs électeurs. En revanche, les masses budgétaires ayant là un cycle annuel, nous insisterons sur la solidarité sociale dans l'optique d'une priorité régionale et nationale.
- Quelle est votre position sur la collectivité unique et la suppression des Conseils généraux ?
- Nous y avons répondu en filigrane. Elle mérite un vrai débat qui n'a pas eu lieu. Les Corses doivent en effet savoir dans quoi on les embarque.
Nous pensons que seul le département constitue une division à l’échelle humaine et nous n'accepterons jamais une institution unique sans contre-pouvoirs.
- Comment fait-on campagne pour siéger dans une institution qui va disparaître ?
- Eh bien, l'on parle de l'avenir, les mois qui nous séparent de la future collectivité unique ne nous laissant d'autres perspectives que de gérer les affaires courantes.
- Etes-vous confiant ? Quel score espérez-vous obtenir ?
- Certes, il y a peu de probabilité que nous remportions des élus. Néanmoins, sans s'aventurer à donner un chiffre, nous espérons réaliser un résultat très honorable en Corse. A cet égard, nous sommes confiants.
Propos recueillis par Manon PERELLI
- Dans ce canton comme dans les autres, l'enjeu est d'occuper le terrain afin d'y décliner les idées du Front National. Cette élection a pris avec l'engagement de Manuel Valls une dimension nationale évidente. Nous espérons donc que les électeurs de Corse comprendront qu’il doivent voter pour un avenir qui dépasse le simple intérêt local, et feront de leur vote une arme contre la décadence voulue par l’Etat socialiste.
- De quoi, selon vous, ce canton a-t-il besoin en priorité ?
- Il a besoin de sang neuf, et d'une autre politique, véritablement alternative. Les Corses demandent à ce qu'on leur reconnaisse enfin un droit prioritaire, et que ce soit leur intérêt et celui de leur famille qui constitue la priorité de ceux à qui ils auront confié leur avenir
- Sur quels thèmes faites-vous campagne ?
- Compte tenu des incertitudes pesant sur l'avenir de nos deux départements, nous savons qu'aucune proposition à caractère structurant ne pourra être menée à terme, car elle nécessite plus de temps que l'évolution institutionnelle insulaire ne nous en accorde. Tous les candidats qui en font mentent à leurs électeurs. En revanche, les masses budgétaires ayant là un cycle annuel, nous insisterons sur la solidarité sociale dans l'optique d'une priorité régionale et nationale.
- Quelle est votre position sur la collectivité unique et la suppression des Conseils généraux ?
- Nous y avons répondu en filigrane. Elle mérite un vrai débat qui n'a pas eu lieu. Les Corses doivent en effet savoir dans quoi on les embarque.
Nous pensons que seul le département constitue une division à l’échelle humaine et nous n'accepterons jamais une institution unique sans contre-pouvoirs.
- Comment fait-on campagne pour siéger dans une institution qui va disparaître ?
- Eh bien, l'on parle de l'avenir, les mois qui nous séparent de la future collectivité unique ne nous laissant d'autres perspectives que de gérer les affaires courantes.
- Etes-vous confiant ? Quel score espérez-vous obtenir ?
- Certes, il y a peu de probabilité que nous remportions des élus. Néanmoins, sans s'aventurer à donner un chiffre, nous espérons réaliser un résultat très honorable en Corse. A cet égard, nous sommes confiants.
Propos recueillis par Manon PERELLI