Pour lui, le match disputé par le Sporting face à, Lorient est comparable au "néant total".
"On ne peut pas dire qu'il y avait certaines choses et pas d'autres : il n'y avait rien. Et ça fait un moment que ça dure. Certes il reste encore beaucoup de matches à disputer et le championnat est très serré, mais il faut se reprendre rapidement et mettre à profit la trêve qui arrive pour travailler, énormément travailler parce qu'il y a besoin de beaucoup de travail. Mais certainement aussi se remettre en question. Notamment au niveau de l'état d'esprit. Au-delà du fait que techniquement on n'y est pas, ce soir on a montré le visage d'une équipe qui pour moi est indigne d'être en Ligue 1. Si on continue à jouer comme ça, on sera probablement, en Ligue 2 la saison prochaine".
"On ne peut pas continuer comme ça"
Pour le président bastiais, "il y a énormément de choses à faire. On va commencer par se poser, parler, discuter pour trouver des solutions : on ne peut pas continuer comme ça !"
Concernant la menace lancée un peu plus tôt par Claude Makelele, qui vise plusieurs joueurs, Pierre-Marie Geronimi a rappelé " que l'on avait, déjà, dit ça il y a quelques temps".
"Il y a des joueurs qui pensent qu'il est facile de jouer au Sporting. Mais c'est, au contraire, très, très difficile. Lorsque l'on n'est pas prêt à porter ce maillot, lorsque l'on n'est pas prêt à supporter la pression que génère le fait de jouer au Sporting, il faut se regarder dans une glace se dire : "je ne suis pas capable de jouer au Sporting, parce que je ne suis pas capable de supporter la pression de, je ne peux pas supporter la pression du résultat et je ne suis pas capable de me battre tous les ans pour me maintenir". Pour avoir ensuite avoir le courage de venir nous dire : il faut que je m'en aille".
Ce soir je ne vise aucun joueur, je les mets tous sur un même pied d'égalité sur ce match et sur les précédents disputés à Lille, Lens etc...
Lorsque l'on ne tire au but que 3 ou 4 fois en 5 matches, on ne pourra jamais en gagner. Mais au moins que l'on montre un autre d'esprit. Les équipes viennent à Furiani, se regroupent derrière attendent. Puis sortent. Et marquent. C'est facile pour elles.
Je sais que les gens vont encore dire que j'exagère : à Furiani, sur une pelouse comme ça, on ne joue pas à la maison. Mais il n'empêche qu'actuellement notre jeu est d'une pauvreté extrême et si l'on ne réagit pas nous allons avoir une saison vraiment difficile…"
"On ne peut pas dire qu'il y avait certaines choses et pas d'autres : il n'y avait rien. Et ça fait un moment que ça dure. Certes il reste encore beaucoup de matches à disputer et le championnat est très serré, mais il faut se reprendre rapidement et mettre à profit la trêve qui arrive pour travailler, énormément travailler parce qu'il y a besoin de beaucoup de travail. Mais certainement aussi se remettre en question. Notamment au niveau de l'état d'esprit. Au-delà du fait que techniquement on n'y est pas, ce soir on a montré le visage d'une équipe qui pour moi est indigne d'être en Ligue 1. Si on continue à jouer comme ça, on sera probablement, en Ligue 2 la saison prochaine".
"On ne peut pas continuer comme ça"
Pour le président bastiais, "il y a énormément de choses à faire. On va commencer par se poser, parler, discuter pour trouver des solutions : on ne peut pas continuer comme ça !"
Concernant la menace lancée un peu plus tôt par Claude Makelele, qui vise plusieurs joueurs, Pierre-Marie Geronimi a rappelé " que l'on avait, déjà, dit ça il y a quelques temps".
"Il y a des joueurs qui pensent qu'il est facile de jouer au Sporting. Mais c'est, au contraire, très, très difficile. Lorsque l'on n'est pas prêt à porter ce maillot, lorsque l'on n'est pas prêt à supporter la pression que génère le fait de jouer au Sporting, il faut se regarder dans une glace se dire : "je ne suis pas capable de jouer au Sporting, parce que je ne suis pas capable de supporter la pression de, je ne peux pas supporter la pression du résultat et je ne suis pas capable de me battre tous les ans pour me maintenir". Pour avoir ensuite avoir le courage de venir nous dire : il faut que je m'en aille".
Ce soir je ne vise aucun joueur, je les mets tous sur un même pied d'égalité sur ce match et sur les précédents disputés à Lille, Lens etc...
Lorsque l'on ne tire au but que 3 ou 4 fois en 5 matches, on ne pourra jamais en gagner. Mais au moins que l'on montre un autre d'esprit. Les équipes viennent à Furiani, se regroupent derrière attendent. Puis sortent. Et marquent. C'est facile pour elles.
Je sais que les gens vont encore dire que j'exagère : à Furiani, sur une pelouse comme ça, on ne joue pas à la maison. Mais il n'empêche qu'actuellement notre jeu est d'une pauvreté extrême et si l'on ne réagit pas nous allons avoir une saison vraiment difficile…"
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