Ils avaient hâte de poser le pied sur le célèbre stade de Slottsskogsvallen qui a fêté ses 100 ans l’an dernier, et qui peut accueillir jusqu’à 10 000 personnes.
“Nous sommes officiellement confirmés sur les courses de 400 m et 200 m avec Hélène et positionnés respectivement sur les relais 4 X 400m au sein de l’équipe de France”, se réjouit d’avance Paul Gaeta en lice avec sa sœur Hélène Biaggioni-Gaeta, aux 2024 World Masters Athletics Championship de Göteborg.
Pour la sœur et le frère qui, on peut le dire, sont en quelque sorte “tombés dedans quand ils étaient petits”, c’est un rêve qui devient réalité.
Initiés dès leurs 6 ans respectifs par leur papa Gérard, qui leur a fait découvrir l’athlétisme dans les années 80 auprès de Henri Nega, fondateur du Stade Olympique Ajaccien, ils courent aujourd’hui en sa mémoire “même s’il n’est plus là physiquement, je suis convaincue qu’il est fier de nous voir accomplir tout cela. Sa passion et son soutien continuent de nous inspirer
chaque jour” confie Hélène, la grande sœur.
Chez les Gaeta, ça court depuis toujours et ils partagent bien évidemment les mêmes séances de préparation, les entraînements, et cela renforce encore leurs liens, déjà si forts : “me préparer avec ma sœur c’est vraiment top, un vrai bonheur. Toute l’année on fait correspondre au mieux nos emplois du temps, mais là nous avons fait toute la prépa des
mondiaux ensemble et ça nous motive à fond. Je dis souvent en riant que je lui suis reconnaissant, car elle n’a pas tout pris, elle en a laissé dans la génétique ” s’amuse Paul au sujet de sa sœur aînée.
Une génétique qui ne semble pas près d'abandonner l’athlétisme, puisque les 2 enfants d'Hélène semblent avoir hérité de la passion de la famille Gaeta.
Sa fille de 15 ans commence déjà à prendre goût à la compétition, et son jeune frère montre également des dispositions pour l’athlétisme. La relève semble déjà assurée dans la famille.
Si Paul n’a pas d’enfants, son métier de professeur des écoles, sa passion pour la guitare et le chant, lui apportent un soutien indéfectible de la part de ses petits élèves et de leurs parents. À l’école primaire de Porticcio, on suit ses courses, ses records, son actualité.
Pour la petite histoire, cette année sa classe de CE2 lui a offert, en cadeau de fin d’année, les nouvelles pointes carbone dont il rêvait pour ces mondiaux d’athlétisme. On peut donc dire qu'ils seront à ses côtés sur le stade à Göteborg. Parions également qu’ils suivront de près les résultats du frère et de la sœur.
Le secret des Gaeta ? “Travail, travail, travail… et persévérance. On est tous les 2 de caractère à ne jamais rien lâcher. On se donne les moyens. Et comme on dit, le travail finit toujours par payer”.
À suivre à partir de ce 18 août
“Nous sommes officiellement confirmés sur les courses de 400 m et 200 m avec Hélène et positionnés respectivement sur les relais 4 X 400m au sein de l’équipe de France”, se réjouit d’avance Paul Gaeta en lice avec sa sœur Hélène Biaggioni-Gaeta, aux 2024 World Masters Athletics Championship de Göteborg.
Pour la sœur et le frère qui, on peut le dire, sont en quelque sorte “tombés dedans quand ils étaient petits”, c’est un rêve qui devient réalité.
Initiés dès leurs 6 ans respectifs par leur papa Gérard, qui leur a fait découvrir l’athlétisme dans les années 80 auprès de Henri Nega, fondateur du Stade Olympique Ajaccien, ils courent aujourd’hui en sa mémoire “même s’il n’est plus là physiquement, je suis convaincue qu’il est fier de nous voir accomplir tout cela. Sa passion et son soutien continuent de nous inspirer
chaque jour” confie Hélène, la grande sœur.
Chez les Gaeta, ça court depuis toujours et ils partagent bien évidemment les mêmes séances de préparation, les entraînements, et cela renforce encore leurs liens, déjà si forts : “me préparer avec ma sœur c’est vraiment top, un vrai bonheur. Toute l’année on fait correspondre au mieux nos emplois du temps, mais là nous avons fait toute la prépa des
mondiaux ensemble et ça nous motive à fond. Je dis souvent en riant que je lui suis reconnaissant, car elle n’a pas tout pris, elle en a laissé dans la génétique ” s’amuse Paul au sujet de sa sœur aînée.
Une génétique qui ne semble pas près d'abandonner l’athlétisme, puisque les 2 enfants d'Hélène semblent avoir hérité de la passion de la famille Gaeta.
Sa fille de 15 ans commence déjà à prendre goût à la compétition, et son jeune frère montre également des dispositions pour l’athlétisme. La relève semble déjà assurée dans la famille.
Si Paul n’a pas d’enfants, son métier de professeur des écoles, sa passion pour la guitare et le chant, lui apportent un soutien indéfectible de la part de ses petits élèves et de leurs parents. À l’école primaire de Porticcio, on suit ses courses, ses records, son actualité.
Pour la petite histoire, cette année sa classe de CE2 lui a offert, en cadeau de fin d’année, les nouvelles pointes carbone dont il rêvait pour ces mondiaux d’athlétisme. On peut donc dire qu'ils seront à ses côtés sur le stade à Göteborg. Parions également qu’ils suivront de près les résultats du frère et de la sœur.
Le secret des Gaeta ? “Travail, travail, travail… et persévérance. On est tous les 2 de caractère à ne jamais rien lâcher. On se donne les moyens. Et comme on dit, le travail finit toujours par payer”.
À suivre à partir de ce 18 août