La plateforme Demucrazia, en ligne depuis mercredi soir, permettra à chaque habitant de prendre au budget participatif en votant pour un projet ou en en proposant un
« Rapprocher les citoyens de la prise de décision ». C’est l’objectif porté par les élus de la majorité municipale de Porto-Vecchio qui depuis leur accession aux responsabilités ont mis en œuvre une série de mesures allant en ce sens, dont la dernière-née a été présentée ce mercredi soir. « Aujourd’hui nous avons souhaité mettre en place une initiative un peu plus structurante et puissante à travers la mise en place d’un budget participatif », indique Vincent Gambini, conseiller municipal en charge des innovations économiques, sociales et environnementales, « Ce que nous souhaitions c’est qu’il y ait vraiment une construction des projets sur le territoire à laquelle puissent être associés les Porto-Vecchiais pour qu’ils ne soient pas simplement spectateurs de ce qui se passe dans leur commune ».
Doté d’une enveloppe de 100 000 euros par an, cet outil financier permettra en effet aux habitants de décider de la destination de ces fonds et de facto de se poser les mêmes questions que des élus sur la ventilation de crédits entre différentes initiatives. Il donnera en outre l’occasion à tous les Porto-Vecchiais, seuls ou en groupe, de soumettre un projet qu’ils voudraient voir réalisé. « L’idée c’est que nous ayons une vague de projets qui nous soit soumise », sourit le conseiller municipal. « Il faut évidemment qu’ils répondent à un intérêt général et bien sûr qu’ils soient respectueux des lois et des normes en vigueur », précise-t-il.
Le dépôt des idées débute dès ce mercredi et s’étendra jusqu’à début août et s’effectuera via des formulaire papier ou directement en ligne sur la plateforme Demucrazia, développée par la municipalité pour être la matrice numérique de ce budget participatif. Une phase d’analyse visant à étudier la recevabilité des projets suivra jusqu’à la fin du mois de septembre afin de sélectionner ceux qui seront soumis à un vote en deux temps. « Tout d’abord, le conseil municipal des jeunes aura la possibilité de désigner un projet lauréat », dévoile Vincent Gambini, « Puis chaque Porto-Vecchiais pourra aller voter sur la plateforme en ligne et dans des permanences de vote physiques pour l’ensemble des autres projets sélectionnés ».
Tous les projets lauréats devront ensuite être réalisés dans un délai d’un an. « Ce que l’on veut c’est que les personnes qui proposent des projets et qui votent puissent voir le fruit de leur travail réalisé dans le monde réel le plus rapidement possible », glisse le conseiller municipal.
Doté d’une enveloppe de 100 000 euros par an, cet outil financier permettra en effet aux habitants de décider de la destination de ces fonds et de facto de se poser les mêmes questions que des élus sur la ventilation de crédits entre différentes initiatives. Il donnera en outre l’occasion à tous les Porto-Vecchiais, seuls ou en groupe, de soumettre un projet qu’ils voudraient voir réalisé. « L’idée c’est que nous ayons une vague de projets qui nous soit soumise », sourit le conseiller municipal. « Il faut évidemment qu’ils répondent à un intérêt général et bien sûr qu’ils soient respectueux des lois et des normes en vigueur », précise-t-il.
Le dépôt des idées débute dès ce mercredi et s’étendra jusqu’à début août et s’effectuera via des formulaire papier ou directement en ligne sur la plateforme Demucrazia, développée par la municipalité pour être la matrice numérique de ce budget participatif. Une phase d’analyse visant à étudier la recevabilité des projets suivra jusqu’à la fin du mois de septembre afin de sélectionner ceux qui seront soumis à un vote en deux temps. « Tout d’abord, le conseil municipal des jeunes aura la possibilité de désigner un projet lauréat », dévoile Vincent Gambini, « Puis chaque Porto-Vecchiais pourra aller voter sur la plateforme en ligne et dans des permanences de vote physiques pour l’ensemble des autres projets sélectionnés ».
Tous les projets lauréats devront ensuite être réalisés dans un délai d’un an. « Ce que l’on veut c’est que les personnes qui proposent des projets et qui votent puissent voir le fruit de leur travail réalisé dans le monde réel le plus rapidement possible », glisse le conseiller municipal.