"Au matin du 17 juin des tags racistes « Arabi Fora », « Lingua Corsa » ont été retrouvés inscrits sur leparvis de l’école élémentaire de Prunelli-di-Fiumorbu. Ceux-ci font suite aux évènements qui se sont déroulés récemment au sein de l’établissement scolaire" a dénoncé Pierre-Siméon de Buochberg
"La municipalité indignée, rejette ces inscriptions qui ne sont pas tolérables sur le territoire de la commune et encore moins à l’entrée de l’école qui doit rester un espace d’éducation laïque, d’épanouissement neutre et sécuritaire" a martelé le maire de la commune qui à la suite de cet acte et "face aux nombreux déchainements constatés sur les réseaux sociaux", a décidé " afin de préserver l’ordre public, a pris la décision d’annuler la réunion publique programmée à son initiative jeudi soir, entre les parents d’élèves et le corps enseignant. Cependant, une rencontre, à huis clos, entre les autorités compétentes sera organisée."
"La contestation des parents d’élèves, qui ne souhaitaient pas que leurs enfants chantent un couplet de la chanson « Imagine » de John Lennon en langue arabe lors de la kermesse de l’école, doit rester une affaire interne" estime Pierre-Siméon de Buochberg.
Face à la situation et aux proportions importantes qui s’en dégagent, le maire de la commune, "en tant que garant de la sécurité et de l’ordre", en appelle à l’apaisement.
« Aujourd’hui il faut penser à nos enfants, ce sont eux qui sont impactés par ce qu’ils entendent dans les médias et de la bouche de leurs parents. Pour cela j’en appelle à la responsabilité de chacun pour ne pas créer un climat de peur et d’intolérance au sein de l’établissement scolaire et encore moins sur notre commune. »
Pour l’heure la kermesse de l’école élémentaire reste annulée dans le but d’assurer la sécurité des élèves et maintenir l’ordre public.
A noter que, selon les deux enseignantes concernées, aucune menace personnelle n’a été proférée à leur encontre. Ces dernières ont été entendues par les services de gendarmerie et ne déposeront pas plainte.
Le Rectorat de Corse a quant à lui déposé une plainte mettant en cause les "propos injurieux à caractère racial et menaçants proférés à l’encontre de l’école par certains parents notamment sur les réseaux sociaux".
Un médiateur a été nommé par l’Education Nationale mercredi.
"La municipalité indignée, rejette ces inscriptions qui ne sont pas tolérables sur le territoire de la commune et encore moins à l’entrée de l’école qui doit rester un espace d’éducation laïque, d’épanouissement neutre et sécuritaire" a martelé le maire de la commune qui à la suite de cet acte et "face aux nombreux déchainements constatés sur les réseaux sociaux", a décidé " afin de préserver l’ordre public, a pris la décision d’annuler la réunion publique programmée à son initiative jeudi soir, entre les parents d’élèves et le corps enseignant. Cependant, une rencontre, à huis clos, entre les autorités compétentes sera organisée."
"La contestation des parents d’élèves, qui ne souhaitaient pas que leurs enfants chantent un couplet de la chanson « Imagine » de John Lennon en langue arabe lors de la kermesse de l’école, doit rester une affaire interne" estime Pierre-Siméon de Buochberg.
Face à la situation et aux proportions importantes qui s’en dégagent, le maire de la commune, "en tant que garant de la sécurité et de l’ordre", en appelle à l’apaisement.
« Aujourd’hui il faut penser à nos enfants, ce sont eux qui sont impactés par ce qu’ils entendent dans les médias et de la bouche de leurs parents. Pour cela j’en appelle à la responsabilité de chacun pour ne pas créer un climat de peur et d’intolérance au sein de l’établissement scolaire et encore moins sur notre commune. »
Pour l’heure la kermesse de l’école élémentaire reste annulée dans le but d’assurer la sécurité des élèves et maintenir l’ordre public.
A noter que, selon les deux enseignantes concernées, aucune menace personnelle n’a été proférée à leur encontre. Ces dernières ont été entendues par les services de gendarmerie et ne déposeront pas plainte.
Le Rectorat de Corse a quant à lui déposé une plainte mettant en cause les "propos injurieux à caractère racial et menaçants proférés à l’encontre de l’école par certains parents notamment sur les réseaux sociaux".
Un médiateur a été nommé par l’Education Nationale mercredi.