C’est le dernier disquaire d’Ajaccio. André Paldacci est passionné de musique depuis son enfance, il transmet son amour pour cet art aussi bien à ses clients qu'à son entourage. Un intérêt qui lui a été inculqué par sa mère : « J'ai commencé à être plongé dans la musique très tôt avec ma mère qui dans la cuisine en passait constamment », se souvient le disquaire. « Quand j'étais enfant, sur la route de l'aéroport, à Tahiti Plage, il y avait des hangars dans lesquels il y avait des juke-boxes. À chaque fois que j'allais à la plage, j'avais pris l'habitude de mettre des pièces dedans. Donc à 4-5 ans, j'étais en contact avec la musique et vers 10 ans, j'avais déjà un mange-disque et des tourne-disques avec lesquels on faisait des booms entre jeunes, chose qui ne se fait plus maintenant ».
Depuis 28 ans, André incarne cette passion à travers son magasin, Vibrations. Située rue Fesch, cette boutique est une véritable caverne d’Ali Baba pour les mélomanes. Chaque recoin et chaque carton regorgent de vinyles, disques, figurines et t-shirts de groupes comme Iron Maiden. « J’ai perdu le compte. J’enlève, je remets des disques. Je fais tourner les stocks. Le magasin est bien plein et riche en qualité », dit-il en souriant.
À chaque nouveau client qui entre, le disquaire lance un chaleureux « N’hésitez pas à venir me voir ». La plupart de ses clients sont des habitués, friands des nouveautés qu’il propose. Ajacciens ou touristes, André Paldacci prend toujours le temps d’écouter attentivement ses clients pour leur trouver le produit parfait ou pour analyser leurs goûts musicaux et leur faire découvrir de nouveaux artistes. Que ce soit du classique, du Jazz, du Rock ou de la musique traditionnelle corse, le disquaire peut débattre sur tous les types de musiques. « J’écoute de tout, donc je peux conseiller sur tous les types de musiques », explique le passionné. « Je prends le temps de discuter avec les clients et peut-être qu’ils vont acheter un disque auquel ils n’auraient jamais pensé ».
Depuis 28 ans, André incarne cette passion à travers son magasin, Vibrations. Située rue Fesch, cette boutique est une véritable caverne d’Ali Baba pour les mélomanes. Chaque recoin et chaque carton regorgent de vinyles, disques, figurines et t-shirts de groupes comme Iron Maiden. « J’ai perdu le compte. J’enlève, je remets des disques. Je fais tourner les stocks. Le magasin est bien plein et riche en qualité », dit-il en souriant.
À chaque nouveau client qui entre, le disquaire lance un chaleureux « N’hésitez pas à venir me voir ». La plupart de ses clients sont des habitués, friands des nouveautés qu’il propose. Ajacciens ou touristes, André Paldacci prend toujours le temps d’écouter attentivement ses clients pour leur trouver le produit parfait ou pour analyser leurs goûts musicaux et leur faire découvrir de nouveaux artistes. Que ce soit du classique, du Jazz, du Rock ou de la musique traditionnelle corse, le disquaire peut débattre sur tous les types de musiques. « J’écoute de tout, donc je peux conseiller sur tous les types de musiques », explique le passionné. « Je prends le temps de discuter avec les clients et peut-être qu’ils vont acheter un disque auquel ils n’auraient jamais pensé ».
Mettre en lumière les artistes
Pour le dernier disquaire d'Ajaccio, l’important n’est pas seulement de vendre des produits, mais de mettre en lumière la production des artistes. « Pour moi, les meilleurs ne sont pas les plus connus. Dans tous les secteurs musicaux, il y a de bons groupes et j’essaie toujours de redonner goût à la musique traditionnelle, qu’elle soit corse ou pas. Certains petits que je lance, quand dix ans après ils sont connus, c’est ma petite fierté », affirme-t-il.
Alors que les grandes surfaces et les plateformes de streaming dominent le marché, André Paldacci est préoccupé pour l’avenir des jeunes artistes. « « Ça va être dur pour eux », avoue le disquaire. « Parce que pour moi, personnellement, vivement la retraite. Mais les artistes vont avoir de plus en plus de mal à être mis en avant et à être diffusés. ».
« Mon boulot, il y a peu de personnes qui le font. Il faut avoir une connaissance, on ne peut pas vendre un produit si on n'a pas la connaissance de l'artiste, la connaissance du courant musical. Mais surtout le plus important c’est que s'il n'y a pas la passion, tu ne peux pas le faire », conclut-il.
Même si André Paldacci attend « vivement » la retraite, il ne compte pas arrêter de transmettre sa passion. Depuis plusieurs années, il anime l’émission "CD Vibrations" sur Frequenza Nostra, diffusée entre 20 heures et 22 heures tous les lundis, et de 20 heures à 23 heures le jeudi. Mais aussi des chroniques sur darkglobe.fr.
Alors que les grandes surfaces et les plateformes de streaming dominent le marché, André Paldacci est préoccupé pour l’avenir des jeunes artistes. « « Ça va être dur pour eux », avoue le disquaire. « Parce que pour moi, personnellement, vivement la retraite. Mais les artistes vont avoir de plus en plus de mal à être mis en avant et à être diffusés. ».
« Mon boulot, il y a peu de personnes qui le font. Il faut avoir une connaissance, on ne peut pas vendre un produit si on n'a pas la connaissance de l'artiste, la connaissance du courant musical. Mais surtout le plus important c’est que s'il n'y a pas la passion, tu ne peux pas le faire », conclut-il.
Même si André Paldacci attend « vivement » la retraite, il ne compte pas arrêter de transmettre sa passion. Depuis plusieurs années, il anime l’émission "CD Vibrations" sur Frequenza Nostra, diffusée entre 20 heures et 22 heures tous les lundis, et de 20 heures à 23 heures le jeudi. Mais aussi des chroniques sur darkglobe.fr.