Ces passagers qui se disent "séquestrés" par les marins et les sédentaires de la compagnie, qui ont mené un troisième jour de grève ce dimanche, ne ménagent guère les personnels de la Méridionale (Voir pair ailleurs).
Mais Marc-Aurèle est formel sur ce point : "Si le port de Bastia est effectivement bloqué jusqu'à nouvel ordre, nous gardons personne en otage malgré l'image que l'on veut renvoyer de notre mouvement" précise le délégué du STC.
"Tous les passagers qui devaient partir ont pu embarquer : cela certes a été un peu plus long que prévu, mais cela a été fait. Maintenant, ils ne sont pas obligés de rester à bord des bateaux. Ils peuvent sortir manger ou même prendre une chambre d'hôtel s'ils le désirent" ajoutait le délégué du STC en précisant que tout était mis en œuvre pour "mettre tout le monde dans les meilleures conditions."
Quant à la question de savoir pourquoi les forces de l'ordre n'interviennent pas, posée mille fois sur les réseaux sociaux, Marc-Aurèle Orsoni rappelle que "le mouvement mené est pacifique et qu'il n'enfreint aucune règle de droit".
Pour le resté le délégué du STC a souligné qu'au-delà des revendications et des événements des dernières heures - bateaux de La Méridionale interdits à Ajaccio et à Bastia et arrêtés préfectoraux - les grévistes attendaient un signe de leur direction qui sollicitée par le Pd-G de Corsica Linea ne s'était toujours manifestée ce dimanche soir.
Enfin, et Marc-Aurèle Orsoni a tenu à le souligner, que ce sont ces mêmes grévistes qui se sont portés au secours de Fabien Paoli, le responsable de la Moby Lines à Bastia, lorsqu'il a été jeté au sol sans ménagement par des passagers excédés.
Mais Marc-Aurèle est formel sur ce point : "Si le port de Bastia est effectivement bloqué jusqu'à nouvel ordre, nous gardons personne en otage malgré l'image que l'on veut renvoyer de notre mouvement" précise le délégué du STC.
"Tous les passagers qui devaient partir ont pu embarquer : cela certes a été un peu plus long que prévu, mais cela a été fait. Maintenant, ils ne sont pas obligés de rester à bord des bateaux. Ils peuvent sortir manger ou même prendre une chambre d'hôtel s'ils le désirent" ajoutait le délégué du STC en précisant que tout était mis en œuvre pour "mettre tout le monde dans les meilleures conditions."
Quant à la question de savoir pourquoi les forces de l'ordre n'interviennent pas, posée mille fois sur les réseaux sociaux, Marc-Aurèle Orsoni rappelle que "le mouvement mené est pacifique et qu'il n'enfreint aucune règle de droit".
Pour le resté le délégué du STC a souligné qu'au-delà des revendications et des événements des dernières heures - bateaux de La Méridionale interdits à Ajaccio et à Bastia et arrêtés préfectoraux - les grévistes attendaient un signe de leur direction qui sollicitée par le Pd-G de Corsica Linea ne s'était toujours manifestée ce dimanche soir.
Enfin, et Marc-Aurèle Orsoni a tenu à le souligner, que ce sont ces mêmes grévistes qui se sont portés au secours de Fabien Paoli, le responsable de la Moby Lines à Bastia, lorsqu'il a été jeté au sol sans ménagement par des passagers excédés.