« C’est assez impressionnant tout ce monde et cette ambiance », lance Christelle Albertini à son mari Jérôme. Pour la première fois, le couple d’apiculteurs d’Albertacce tient un stand au salon de l’agriculture. Un véritable rendez-vous pour les producteurs de l’île qu’ils découvrent aujourd’hui : « On est très heureux de pouvoir exposer nos produits, les faire connaître dans la capitale et surtout de pouvoir échanger avec d’autres apiculteurs sur leur savoir-faire. C’est inspirant », assure la niulinca.
À leur stand, Laurent goûte leur miel. Lui est venu au salon avec une idée en tête : retrouver le nectar d’un apiculteur qu’il avait rencontré lors de son dernier séjour en Corse. « J’aime la typicité du miel de maquis », explique-t-il entre deux cuillérées.
À quelques pas, Agnès Ferreri ne cache pas sa joie. La productrice de cosmétiques naturels basée à Monticellu expose pour la huitième année. Une façon pour elle d’avoir une vitrine sur le continent. « Je fais tester l’eau d’immortelle ou celle de fleur d’olivier, les gens achètent et ensuite ils commandent sur mon site Internet. Cela me rapporte chaque année environ 10 % de clientèle supplémentaire », assure-t-elle avant d’être interrompue par une cliente.
À leur stand, Laurent goûte leur miel. Lui est venu au salon avec une idée en tête : retrouver le nectar d’un apiculteur qu’il avait rencontré lors de son dernier séjour en Corse. « J’aime la typicité du miel de maquis », explique-t-il entre deux cuillérées.
À quelques pas, Agnès Ferreri ne cache pas sa joie. La productrice de cosmétiques naturels basée à Monticellu expose pour la huitième année. Une façon pour elle d’avoir une vitrine sur le continent. « Je fais tester l’eau d’immortelle ou celle de fleur d’olivier, les gens achètent et ensuite ils commandent sur mon site Internet. Cela me rapporte chaque année environ 10 % de clientèle supplémentaire », assure-t-elle avant d’être interrompue par une cliente.
La fête, toujours !
Des chants, de la musique au comptoir et beaucoup de vin … Si cette année les groupes et festivités habituelles ont été annulés en raison du deuil qui touche la Corse, le manque de musique n’a pas empêché les visiteurs de venir déguster du fromage de brebis. Hippolyte, Grégoire et Dimitri, des amis de région parisienne, se sont directement rendus au village Corse pour essayer de retrouver le goût de leurs vacances sur l’île de Beauté. Ils n’ont qu’un mot à la bouche : la charcuterie.
Des chants, de la musique au comptoir et beaucoup de vin … Si cette année les groupes et festivités habituelles ont été annulés en raison du deuil qui touche la Corse, le manque de musique n’a pas empêché les visiteurs de venir déguster du fromage de brebis. Hippolyte, Grégoire et Dimitri, des amis de région parisienne, se sont directement rendus au village Corse pour essayer de retrouver le goût de leurs vacances sur l’île de Beauté. Ils n’ont qu’un mot à la bouche : la charcuterie.
Il faut dire qu’ils sont au bon endroit. Sur les stands des quelque 70 producteurs : coppa, prizuttu, brocciu, migliacci, agneau de lait en sandwich… De quoi se sentir à la maison. Ce n’est pas Thomas et Louis, deux Bastiais vivant respectivement à Lille et à Paris pour le travail, qui diront le contraire. Eux aussi avaient envie de Corse. « Il y a des évènements qu’on ne peut pas louper quand on fait partie de la diaspora. Le salon de l’agriculture c’en est un. C’est un endroit où on se retrouve avec beaucoup de plaisir. On se sent un peu chez nous », raconte Thomas accoudé au comptoir.
Et si une envie de Corse vous prend aussi, rendez-vous au pavillon 7.1. Producteurs et artisans vous attendent jusqu’au 2 mars.
Et si une envie de Corse vous prend aussi, rendez-vous au pavillon 7.1. Producteurs et artisans vous attendent jusqu’au 2 mars.