L'image forte du capitaine bastiais, abasourdi et effondré au milieu de la pelouse et sa sortie en larmes du terrain, saisies par Bein Sport, traduisait assez bien l'angoisse qui était celle du Sporting en fin d'année. Un Sporting qui après avoir grimpé à la vitesse grand V tous les échelons depuis le championnat National se trouvait de nouveau confronté à une situation qu'il n'avait plus connu depuis ses belles années Hantz.
Quand fin Novembre les dirigeants du Sporting, dans leurs petits souliers, après le refus opposé à leurs propositions par Frédéric Antonetti, confièrent les rênes du groupe professionnel à Ghislain Printant, le directeur du centre de formation, pour suppléer Claude Makelele qui n'avait convaincu personne, le pessimisme se lisait à tous les étages du club.
Evian et les larmes de Cahuzac ne firent qu'accentuer ce sentiment.
C'est plus que ce que pouvait en supporter Ghislain Printant. Un homme de club. De devoir. De bon sens. Au franc-parler. Et à la verve méridionale qui, par moments, renvoie l'image de quelques-uns de ses glorieux prédécesseurs comme Pierre Cahuzac ou Antoine Redin. Il a des accents du dernier. Et des réflexions du premier, quand il le faut.
Mais par dessus tout cela, et nul ne lui en voudra, Ghislain Printant a fait du bleu sa couleur de prédilection. Du Sporting son club. Et de Furiani son toit.
Il faut l'entendre parler de ce "peuple bleu", des vertus du Sporting, des qualités des hommes qui composent son groupe.
Il en parle de la même façon, et avec cette même passion et les mêmes accents passionnés, à ses joueurs.
Et le message passe.
Quinze jours après son avènement, et une petite période de rodage, il mettait le SCB dans le bon sens de la marche.
Aujourd'hui le Sporting que l'on a toujours aimé à Bastia, celui qui se bat avec ses armes fondées sur le courage, la générosité, l'engagement et la solidarité, est de retour.
Et il n'est pas un joueur retenu par Printant qui n'y adhère !
C'est tout cela qu'a rendu aujourd'hui aux "bleus" Ghislain Printant, modeste directeur du centre de formation œuvrant dans l'ombre, mais avec efficacité, à servir les intérêts du Sporting et qui, prévu pour assurer, un simple intérim se retrouve sous les feux de la rampe.
Il le mérite bien.
Une finale de la coupe de la Ligue, une série de matches sans défaite en championnat : le Sporting va bien mieux, merci.
Et s'il n'y avait eu le hiatus de la Coupe de France et Quevilly, le parcours aurait été parfait...
D'ailleurs Printant ne l'a pas encoré digéré.
"Je suis un compétiteur. Je n'aime pas perdre" disait-il encore vendredi matin.
Et quand on lui posait la question de savoir si dans le contexte sportif du club en Ligue 1, il préférait se qualifier Monaco ou battre Metz ce samedi, la réponse de Printant compétiteur, a fusé : "Aujourd'hui la priorité c'est Monaco et la coupe de la Ligue. Dès jeudi matin nous passerons à Metz et au championnat".
Pour lui pas question de choix. "Une demi-finale ça ne se joue pas ça se gagne" disait-il. Un maintien en Ligue1, si lui se joue, ça se gagne aussi.
Et ce Sporting à la mode Printant, a tous les moyens pour parvenir à ses fins, même si tout le monde en est conscient, il a encore loin de la coupe aux lèvres.
Place au championnat donc, car du stade France on aura encore, de belles occasions d'en reparler !
Quand fin Novembre les dirigeants du Sporting, dans leurs petits souliers, après le refus opposé à leurs propositions par Frédéric Antonetti, confièrent les rênes du groupe professionnel à Ghislain Printant, le directeur du centre de formation, pour suppléer Claude Makelele qui n'avait convaincu personne, le pessimisme se lisait à tous les étages du club.
Evian et les larmes de Cahuzac ne firent qu'accentuer ce sentiment.
C'est plus que ce que pouvait en supporter Ghislain Printant. Un homme de club. De devoir. De bon sens. Au franc-parler. Et à la verve méridionale qui, par moments, renvoie l'image de quelques-uns de ses glorieux prédécesseurs comme Pierre Cahuzac ou Antoine Redin. Il a des accents du dernier. Et des réflexions du premier, quand il le faut.
Mais par dessus tout cela, et nul ne lui en voudra, Ghislain Printant a fait du bleu sa couleur de prédilection. Du Sporting son club. Et de Furiani son toit.
Il faut l'entendre parler de ce "peuple bleu", des vertus du Sporting, des qualités des hommes qui composent son groupe.
Il en parle de la même façon, et avec cette même passion et les mêmes accents passionnés, à ses joueurs.
Et le message passe.
Quinze jours après son avènement, et une petite période de rodage, il mettait le SCB dans le bon sens de la marche.
Aujourd'hui le Sporting que l'on a toujours aimé à Bastia, celui qui se bat avec ses armes fondées sur le courage, la générosité, l'engagement et la solidarité, est de retour.
Et il n'est pas un joueur retenu par Printant qui n'y adhère !
C'est tout cela qu'a rendu aujourd'hui aux "bleus" Ghislain Printant, modeste directeur du centre de formation œuvrant dans l'ombre, mais avec efficacité, à servir les intérêts du Sporting et qui, prévu pour assurer, un simple intérim se retrouve sous les feux de la rampe.
Il le mérite bien.
Une finale de la coupe de la Ligue, une série de matches sans défaite en championnat : le Sporting va bien mieux, merci.
Et s'il n'y avait eu le hiatus de la Coupe de France et Quevilly, le parcours aurait été parfait...
D'ailleurs Printant ne l'a pas encoré digéré.
"Je suis un compétiteur. Je n'aime pas perdre" disait-il encore vendredi matin.
Et quand on lui posait la question de savoir si dans le contexte sportif du club en Ligue 1, il préférait se qualifier Monaco ou battre Metz ce samedi, la réponse de Printant compétiteur, a fusé : "Aujourd'hui la priorité c'est Monaco et la coupe de la Ligue. Dès jeudi matin nous passerons à Metz et au championnat".
Pour lui pas question de choix. "Une demi-finale ça ne se joue pas ça se gagne" disait-il. Un maintien en Ligue1, si lui se joue, ça se gagne aussi.
Et ce Sporting à la mode Printant, a tous les moyens pour parvenir à ses fins, même si tout le monde en est conscient, il a encore loin de la coupe aux lèvres.
Place au championnat donc, car du stade France on aura encore, de belles occasions d'en reparler !
Le SCB de Printant
En championnat
Victoire à Furiani contre Montpellier 2-0
Match nul à Furiani face à Lyon 0-0
Défaite à Reims 2-1
Défaite face à Evian à Furiani 2-1
Défaite à Saint-Etienne 2-1
Victoire à Furiani face à Rennes 2-0
Match nul à Caen 1-1
Victoire à Furiani contre le PSG 4-2
Match nul à Toulouse 1-1
Match nul à Furiani face à Bordeaux 0-0
Match nul à Lens 1-1
Soit 3 victoires, 3 défaites et 5 matches nuls
Coupe de France
Victoire à Furiani face à Lille 2-0
Défaite aux tirs (0-0 à la fin de prolongation) à Quevilly
Coupe de la Ligue
Victoire à Furiani face à Auxerre 3-1
Victoire à Furiani face à Caen 3-2
Victoire à Furiani face à Rennes 2-0
Victoire aux tirs au but (7-6) à Monaco
La suite reste à écrire…
Victoire à Furiani contre Montpellier 2-0
Match nul à Furiani face à Lyon 0-0
Défaite à Reims 2-1
Défaite face à Evian à Furiani 2-1
Défaite à Saint-Etienne 2-1
Victoire à Furiani face à Rennes 2-0
Match nul à Caen 1-1
Victoire à Furiani contre le PSG 4-2
Match nul à Toulouse 1-1
Match nul à Furiani face à Bordeaux 0-0
Match nul à Lens 1-1
Soit 3 victoires, 3 défaites et 5 matches nuls
Coupe de France
Victoire à Furiani face à Lille 2-0
Défaite aux tirs (0-0 à la fin de prolongation) à Quevilly
Coupe de la Ligue
Victoire à Furiani face à Auxerre 3-1
Victoire à Furiani face à Caen 3-2
Victoire à Furiani face à Rennes 2-0
Victoire aux tirs au but (7-6) à Monaco
La suite reste à écrire…