La Collectivité Territoriale de Corse représentée par du président de l’Exécutif, Gilles Simeoni, du président de l’assemblée de Corse, Jean-Guy Talamoni, et du président de l’Office des Transports, Jean-Félix Acquaviva a initié depuis hier un cycle de rencontres resserrées avec les parties économiques et sociales de l’île directement engagées sur la question des transports maritimes autour de deux points essentiels :
A ce titre, nous comprenons largement les inquiétudes de toutes les entreprises insulaires et de leurs employés et nous sommes indéfectiblement à leur côté dans cette épreuve.
La Corse veut tourner le dos à des logiques et des pratiques qui ont trop longtemps impacté son économie, ses entreprises et ses emplois. C’est le sens de la nouvelle politique des transports que veut impulser la nouvelle mandature. Cette nouvelle politique se fonde sur un cap clair, des principes forts, une méthode, des valeurs, de la clarté et de la transparence dans le dialogue à instaurer, tout autant que sur le respect des droits sociaux et la prise en compte des inquiétudes.
Nous en appelons donc une nouvelle fois à l’apaisement et à la responsabilité.
Il est temps que le déblocage intervienne pour poursuivre activement et sereinement le travail dans le cadre du vaste chantier qui s’annonce.
- La sortie de crise avec la nécessaire levée du blocus sur le bateau de la Corsica Linea et plus globalement permettre des rotations suffisantes avec la Corse ;
- La définition d’une nouvelle trajectoire structurelle pour l’avenir des transports maritimes en Corse reposant sur trois piliers : l’objectif de création d’une compagnie corse maitrisée par les institutions de l’île et regroupant les acteurs privés ; la redéfinition du cadre des OSP/DSP ; l’émergence d’une politique de continuité territoriale européenne.
A ce titre, nous comprenons largement les inquiétudes de toutes les entreprises insulaires et de leurs employés et nous sommes indéfectiblement à leur côté dans cette épreuve.
La Corse veut tourner le dos à des logiques et des pratiques qui ont trop longtemps impacté son économie, ses entreprises et ses emplois. C’est le sens de la nouvelle politique des transports que veut impulser la nouvelle mandature. Cette nouvelle politique se fonde sur un cap clair, des principes forts, une méthode, des valeurs, de la clarté et de la transparence dans le dialogue à instaurer, tout autant que sur le respect des droits sociaux et la prise en compte des inquiétudes.
Nous en appelons donc une nouvelle fois à l’apaisement et à la responsabilité.
Il est temps que le déblocage intervienne pour poursuivre activement et sereinement le travail dans le cadre du vaste chantier qui s’annonce.