« Pour la 13ème fois depuis plus de 3 mois, nous sommes toujours présents, toujours nombreux, toujours mobilisés, toujours résolus, toujours opposés à la réforme des retraites » déclarait en tête du cortège François Giudicelli, porte-parole de l’Intersyndicale. « Pour les syndicats, manifester le 1er mai c’est rappeler avec force que la journée internationale des travailleurs correspond à nos valeurs de solidarité, de paix et de progrès social. Ce 1er mai 2023 est une étape supplémentaire dans l’intense mobilisation que nous avons organisée et que le président de la république pense avoir dépassé en promulguant la loi en catimini. En ce 1er mai notre détermination n’est pas altérée. Elle est même décuplée par les petites manœuvres gouvernementales qui ne nous détournent pas de notre objectif. Non, la page des retraites n’est pas terminée ». Et le porte-parole de marteler : « Si encore une fois le gouvernement et le président restaient sourds et aveugles devant l’immense mobilisation d’aujourd’hui, dans plus de 300 villes en France, alors qu’ils sachent que sous une forme ou sous une autre, de façon adaptée, nous continuerons à agir pour que cette réforme violente et inutile soit empêchée ».
L’intersyndicale, moteur de la mobilisation contre la réforme.
Une loi pourtant votée et promulguée. « Pour que cette réforme soit abandonnée, c’est simple, il suffit que les décrets d’application ne soient pas publiés » poursuit FrançoisGiudicelli. « Pour Macron et son gouvernement, mai 2023 doit être le mois des renoncements. Cette intersyndicale est le moteur de la mobilisation. La bataille n’est pas finie. Quoiqu’en dise le Gouvernement, le moment n’est pas venu de remiser au placard drapeaux et slogans »
Le Parti Communiste était bien sûr partie prenante de cette manifestation du 1er mai, symbole de la lutte des travailleurs : « Le président de la République a promulgué la réforme des retraites dans la nuit suivant la décision du Conseil constitutionnel » souligne Michel Stefani, secrétaire fédéral du PCF pour la Corse. « Le jusque boutisme du « Méprisant » de la République plonge le pays dans une grave crise démocratique. Une majorité sociale s’est dressée face au Président qui s'acharne à prendre deux années de retraite aux travailleurs. A chacun de leurs déplacements, les ministres et le Président Macron sont interpellés. Les actions se multiplient de partout. Le 3 mai le Conseil constitutionnel rendra sa décision sur le référendum initiative partagé. Aux côtés de l'intersyndicale, nous continuons la bataille pour gagner le retrait de la réforme ou le RIP ».
François Giudicelli, porte-parole de l’Intersyndicale CFDT, CFE/CGC, CGT, CFTC, FO, UFSU, UNSA et Michel Stefani, secrétaire fédéral du PCF pour la Corse s'expriment dans notre vidéo
L’intersyndicale, moteur de la mobilisation contre la réforme.
Une loi pourtant votée et promulguée. « Pour que cette réforme soit abandonnée, c’est simple, il suffit que les décrets d’application ne soient pas publiés » poursuit FrançoisGiudicelli. « Pour Macron et son gouvernement, mai 2023 doit être le mois des renoncements. Cette intersyndicale est le moteur de la mobilisation. La bataille n’est pas finie. Quoiqu’en dise le Gouvernement, le moment n’est pas venu de remiser au placard drapeaux et slogans »
Le Parti Communiste était bien sûr partie prenante de cette manifestation du 1er mai, symbole de la lutte des travailleurs : « Le président de la République a promulgué la réforme des retraites dans la nuit suivant la décision du Conseil constitutionnel » souligne Michel Stefani, secrétaire fédéral du PCF pour la Corse. « Le jusque boutisme du « Méprisant » de la République plonge le pays dans une grave crise démocratique. Une majorité sociale s’est dressée face au Président qui s'acharne à prendre deux années de retraite aux travailleurs. A chacun de leurs déplacements, les ministres et le Président Macron sont interpellés. Les actions se multiplient de partout. Le 3 mai le Conseil constitutionnel rendra sa décision sur le référendum initiative partagé. Aux côtés de l'intersyndicale, nous continuons la bataille pour gagner le retrait de la réforme ou le RIP ».
François Giudicelli, porte-parole de l’Intersyndicale CFDT, CFE/CGC, CGT, CFTC, FO, UFSU, UNSA et Michel Stefani, secrétaire fédéral du PCF pour la Corse s'expriment dans notre vidéo