Cette manifestation pacifique faisait suite au deux premières organisées cet été par les opposants à l’exposition de l’œuvre intitulée Piss Christ et qui exigent toujours le retrait du blasphème. « Une atteinte à la culture catholique et une insulte à chaque corse » pour tous ces chrétiens qui se disent "souillés" et pour François Veyret-Passini qui ne cessera sa grève de la faim que lorsque la photographie sera retirée du musée Fesch et aura quitté le sol Corse.
Ce dernier avait écrit début septembre au sénateur maire Laurent Marcangeli et à Olivier de Germay Evêque d’Ajaccio qui était venu à sa rencontre. Cette entrevue est relatée par l’Evêque de Corse sur le site du diocèse : Sa protestation illustre la souffrance de tous ceux qui sont profondément blessés par cette image, et qui ont le droit d’être entendus. Nous avons constaté que nous avions des approches différentes sur la façon de réagir. Cela ne m’empêche pas de désapprouver cette exposition qui n’a réussi qu’à semer la discorde. Nous sommes tous attachés à la liberté d’expression, pourvu qu’elle ne soit pas un prétexte pour offenser les autres".
Ce dernier avait écrit début septembre au sénateur maire Laurent Marcangeli et à Olivier de Germay Evêque d’Ajaccio qui était venu à sa rencontre. Cette entrevue est relatée par l’Evêque de Corse sur le site du diocèse : Sa protestation illustre la souffrance de tous ceux qui sont profondément blessés par cette image, et qui ont le droit d’être entendus. Nous avons constaté que nous avions des approches différentes sur la façon de réagir. Cela ne m’empêche pas de désapprouver cette exposition qui n’a réussi qu’à semer la discorde. Nous sommes tous attachés à la liberté d’expression, pourvu qu’elle ne soit pas un prétexte pour offenser les autres".