Dès 9h30 le rond-point du Palais de justice s’animait avec l’arrivée, à grand renfort de coups de klaxon, des poids-lourds et véhicules utilitaires d’EDF/GDF puis des différentes voitures « sono » crachant les traditionnels chants contestataires. Les drapeaux flottant au vent se multipliaient très vite. De 100 à 200 on a rapidement dépassé les 1000 personnes à un quart d’heure du départ du cortège. Plusieurs fois, les porteurs de la banderole de tête, aux couleur de l’intersyndicale (CFDT, CFE/CGC, CFTC, CGT, FO, STC, U.FSU et UNSA) devront même avancer de plusieurs mètres afin que les manifestants puissent intégrer le cortège. Celui s’ébranlera finalement vers 10h35. La descente du boulevard Paoli se fera à pas lents, parfois sous les applaudissements des commerçants qui avaient soit baissé leur rideau soit éteint leurs lumières.
Arrivés au bas du boulevard, les leaders syndicaux boudaient alors le boulevard Sebastiani qui mène à la préfecture pour bifurquer à droite et faire le tour du rond-point Nogués, retrouvant ensuite le boulevard Sebastiani via la rue Adolphe Landry (derrière la mairie).
Il faudra ensuite de très longues minutes d’attente à François Giuducelli, porte-parole de l’Intersyndicale, le temps que tout le monde prenne place autour de la préfecture, pour qu’il puisse débuter son discours.
« Salute a tutti. Bon, ça y est ! nous y sommes. L’intersyndicale a réussi son pari et la France, la Corse sont aujourd’hui à l’arrêt. Nous sommes aujourd’hui plus nombreux que nous n’avons jamais été à manifester notre opposition à la réforme des retraites »
Et le syndicaliste d’énumérer les arguments contre cette « réforme injuste, injustifiée et pénalisante, les nombreuses erreurs, mensonges et contre-vérités véhiculées par les ministres ».
Le syndicaliste ne manquait pas non plus de saluer le 8 mars, Journée internationale des droits des femmes : « Demain c’est la journée des droits des femmes. Avec elles, pour elles, avec non organisations syndicales, dans nos entreprises, dans nos administrations, dans nos villes et nos campagnes nous allons continuer à nous battre jour après jour pour que vous retiriez votre projet injuste pour tous et particulièrement pour les femmes ».
En conclusion, au nom de l’intersyndicale, François Giudicelli devait rappeler le caractère important de cette journée : « La journée d’aujourd’hui est une étape essentielle, nous devions la réussir et c’est fait. Celles qui suivront seront déterminantes. Et à la fin, nous gagnerons parce que le gouvernement ne peut pas, sur un sujet aussi important, gouverner longtemps contre son peuple ».
Dans notre vidéo, les réactions des différentes composantes de l’intersyndicale :
François Giudicelli (UNSA), Jean Brignole (STC), Christophe Bertin (FO), Charles Casabianca (CGT), Antoine Casarelli (CFDT), Fabien Mineo (FSU)…
Arrivés au bas du boulevard, les leaders syndicaux boudaient alors le boulevard Sebastiani qui mène à la préfecture pour bifurquer à droite et faire le tour du rond-point Nogués, retrouvant ensuite le boulevard Sebastiani via la rue Adolphe Landry (derrière la mairie).
Il faudra ensuite de très longues minutes d’attente à François Giuducelli, porte-parole de l’Intersyndicale, le temps que tout le monde prenne place autour de la préfecture, pour qu’il puisse débuter son discours.
« Salute a tutti. Bon, ça y est ! nous y sommes. L’intersyndicale a réussi son pari et la France, la Corse sont aujourd’hui à l’arrêt. Nous sommes aujourd’hui plus nombreux que nous n’avons jamais été à manifester notre opposition à la réforme des retraites »
Et le syndicaliste d’énumérer les arguments contre cette « réforme injuste, injustifiée et pénalisante, les nombreuses erreurs, mensonges et contre-vérités véhiculées par les ministres ».
Le syndicaliste ne manquait pas non plus de saluer le 8 mars, Journée internationale des droits des femmes : « Demain c’est la journée des droits des femmes. Avec elles, pour elles, avec non organisations syndicales, dans nos entreprises, dans nos administrations, dans nos villes et nos campagnes nous allons continuer à nous battre jour après jour pour que vous retiriez votre projet injuste pour tous et particulièrement pour les femmes ».
En conclusion, au nom de l’intersyndicale, François Giudicelli devait rappeler le caractère important de cette journée : « La journée d’aujourd’hui est une étape essentielle, nous devions la réussir et c’est fait. Celles qui suivront seront déterminantes. Et à la fin, nous gagnerons parce que le gouvernement ne peut pas, sur un sujet aussi important, gouverner longtemps contre son peuple ».
Dans notre vidéo, les réactions des différentes composantes de l’intersyndicale :
François Giudicelli (UNSA), Jean Brignole (STC), Christophe Bertin (FO), Charles Casabianca (CGT), Antoine Casarelli (CFDT), Fabien Mineo (FSU)…