Ce sera peine perdue pour Jean-Luc Germani qui n’aura pas obtenu d'interdire la parution du livre « Vendetta » de sa prison d'Arles.
Ce jeudi 11 juin, sortait en effet dans les librairies le récit du destin tragique des héritiers de la brise de mer raconté par Violette Lazard, journaliste à l'Obs et de Marion Galland, journaliste à Radio France.
Mercredi matin, lors d'une audience en référé, la défense de Jean-Luc Germani, avait demandé au tribunal de retarder la publication du livre, notamment pour relire le chapitre 23 intitulé "Jean-Luc Germani, ennemi juré et intouchable" et supprimer les passages qui pourraient nuire à leur client. Dans celui-ci, les auteures retranscrivent des écoutes de fin 2015 alors que des micros avaient été dissimulé dans sa cellule aux Baumettes, à Marseille.
Un joli coup de publicité pour ce livre qui serait déjà en rupture de stock chez son éditeur Plon. A Bastia, à la librairie Album, il n'en restait plus qu'une dizaine dans l'après-midi.
Ce jeudi 11 juin, sortait en effet dans les librairies le récit du destin tragique des héritiers de la brise de mer raconté par Violette Lazard, journaliste à l'Obs et de Marion Galland, journaliste à Radio France.
Mercredi matin, lors d'une audience en référé, la défense de Jean-Luc Germani, avait demandé au tribunal de retarder la publication du livre, notamment pour relire le chapitre 23 intitulé "Jean-Luc Germani, ennemi juré et intouchable" et supprimer les passages qui pourraient nuire à leur client. Dans celui-ci, les auteures retranscrivent des écoutes de fin 2015 alors que des micros avaient été dissimulé dans sa cellule aux Baumettes, à Marseille.
Un joli coup de publicité pour ce livre qui serait déjà en rupture de stock chez son éditeur Plon. A Bastia, à la librairie Album, il n'en restait plus qu'une dizaine dans l'après-midi.