
Plus de 1000 coureurs ont participé ce dimanche à la 34e édition du Marathon d'Ajaccio (photos Paule Santoni).
C’est sous un soleil radieux que les 1 000 participants, toutes épreuves confondues, se sont élancés en deux temps dans une 34E édition record du Marathon d’Ajaccio. Organisée par l’ASPTT Athlétisme de l’emblématique Félix Antonietti, la manifestation a connu, cette année, un succès fou avec des coureurs venus de tous horizons.
Et notamment une délégation militaire de 24 personnes des sous-mariniers de Brest, qui se sont d’ailleurs illustrés avec la victoire de Pierre Lebegue en 2’32’’32, tout proche du record de l’épreuve établi en 2’28’’38 et qui date de 2001. A l’issue de la course, le jeune breton qui a fait la course en tête tout au long des 42 km, et les deux aller-retours jusqu’à la Parata, se montrait particulièrement heureux : « C’est un super marathon avec un paysage à couper le souffle pendant tout le parcours. Il est très exigeant avec beaucoup de faux plats montants, ce qui use rapidement. Je suis parti sur les bases auxquelles j’aspirais mais après j’ai commencé à ralentir à partir du 19e km, notamment à cause de ce dénivelé et de la chaleur parce que sinon je n’aurais pas réussi à rallier l’arrivée ! Il faut rester humble pour pouvoir terminer un marathon aussi dur ».
Et notamment une délégation militaire de 24 personnes des sous-mariniers de Brest, qui se sont d’ailleurs illustrés avec la victoire de Pierre Lebegue en 2’32’’32, tout proche du record de l’épreuve établi en 2’28’’38 et qui date de 2001. A l’issue de la course, le jeune breton qui a fait la course en tête tout au long des 42 km, et les deux aller-retours jusqu’à la Parata, se montrait particulièrement heureux : « C’est un super marathon avec un paysage à couper le souffle pendant tout le parcours. Il est très exigeant avec beaucoup de faux plats montants, ce qui use rapidement. Je suis parti sur les bases auxquelles j’aspirais mais après j’ai commencé à ralentir à partir du 19e km, notamment à cause de ce dénivelé et de la chaleur parce que sinon je n’aurais pas réussi à rallier l’arrivée ! Il faut rester humble pour pouvoir terminer un marathon aussi dur ».
Louis Deche remporte le semi-marathon, Axel Mondain le 10 km
Derrière lui, les deux insulaires Pierre Fiori (CS Solenzara) et Cédric Orengo (Decathlon) terminent respectivement à plus de 15 et 30 minutes. Une allure impressionnante qui d’ailleurs permis au vainqueur de l’épreuve de tourner à la statue Marcaggi avant l’arrivée de Louis Deche, 1er du semi-marathon en 1’14’’37. Originaire de Bordeaux mais interne à l’Hôpital d’Ajaccio, le jeune coureur remporte l’épreuve de 21 km devant Fabrice Jauffret et Stefane Costa (AS Figarella) : « Je suis arrivé depuis quelques mois ici et je suis très heureux d’avoir remporté cette superbe course. J’ai arrêté la compétition en club et maintenant je cours pour mon plaisir personnel. J’avais déjà fait un bon chrono à Madrid en 2015 en 1h15 et je me suis lancé ce défi de faire un bon temps lors de cette épreuve. C’est magnifique ! J’ai fait le début de la course avec la vainqueur du marathon qui allait vraiment très vite, moi j’ai été raisonnable et j’ai fait la course en tête sur ce semi de bout en bout ». Severine Daviller (Triathlon Club du Grand Bastia) termine 1re féminine en 1’31’’11.
Derrière lui, les deux insulaires Pierre Fiori (CS Solenzara) et Cédric Orengo (Decathlon) terminent respectivement à plus de 15 et 30 minutes. Une allure impressionnante qui d’ailleurs permis au vainqueur de l’épreuve de tourner à la statue Marcaggi avant l’arrivée de Louis Deche, 1er du semi-marathon en 1’14’’37. Originaire de Bordeaux mais interne à l’Hôpital d’Ajaccio, le jeune coureur remporte l’épreuve de 21 km devant Fabrice Jauffret et Stefane Costa (AS Figarella) : « Je suis arrivé depuis quelques mois ici et je suis très heureux d’avoir remporté cette superbe course. J’ai arrêté la compétition en club et maintenant je cours pour mon plaisir personnel. J’avais déjà fait un bon chrono à Madrid en 2015 en 1h15 et je me suis lancé ce défi de faire un bon temps lors de cette épreuve. C’est magnifique ! J’ai fait le début de la course avec la vainqueur du marathon qui allait vraiment très vite, moi j’ai été raisonnable et j’ai fait la course en tête sur ce semi de bout en bout ». Severine Daviller (Triathlon Club du Grand Bastia) termine 1re féminine en 1’31’’11.
Enfin, ils étaient près de 450 à s’élancer sur les coups de 9h30 pour la course du 10 km, d’un parcours établi de la statue Marcaggi avant un détour devant la paillote du Kos Beach Club. C’est finalement Axel Mondain, le pensionnaire du GFCA Athlétisme, qui s’est imposé en 33’14 devant Enzo Léger (Caen) et Simon Cardoen (PUC) : « Je suis très content de remporter cette épreuve, pour la première fois. J’avais fini à la 3e place en 2019 et cette victoire est une belle récompense. On était côte à côte avec le second jusqu’au 8e kilomètre où j’ai pu accélérer et le distancer sur la fin ». Fanny Genel (Beaune) termine 1re féminine en 40’’13.
Après la course, l’ensemble des coureurs s’est retrouvé Place Miot pour la remise des prix et pour, d’ores et déjà, de donner rendez-vous pour la prochaine édition, pour continuer de battre tous les records !