Arrivés ce vendredi à Calvi, le docteur William Lowenstein, médecin spécialiste de l’addiction, directeur général de la clinique Montévidéo à Boulogne-Billancourt, président de SOS ACCRO et le docteur Laurent Karila, psychiatre-addictologue, praticien hospitalier, responsable du centre référence cocaïne au centre d’enseignement, de recherche et de traitement des addictions (CERTA) à l’Hôpital Paul Brousse de Villejuif, auteur de nombreux ouvrages et co-auteur de Accro avec Annabel Benhaiem sorti chez Flammarion, ont accepté avant de rejoindre l’Ile-Rousse, d’aborder le sujet de leur conférence-débat qui se déroulera à partir de 18 heures au Spaziu.
Laurent Karila est chez lui à L’Ile-Rousse d’où son épouse est originaire.
« C’est avec beaucoup de fierté que je viens en Corse pour animer cette conférence-débat en compagnie de mon mentor, le docteur William Lowenstein qui sera le modérateur Au cours de cette soirée, on abordera toutes les formes d’addictions et du dopage sur la thématique du sport ou encore comment peut-on devenir addic et sur les comportement qui rendent dépendant.
Au chapitre de la drogue, on abordera celle du cannabis, véritable maladie de l’adolescent, de la cocaîne qui font une percée monstrueuse dans toutes les classes de la société.
Autre volet qui sera abordé, celui des drogue de synthèse sur internet qui risque de faire de gros ravages ».
Le Dr William Lowenstein sur la consommation du cannabis : « Ce n’est pas bon pour la santé chez l’adulte mais aussi et surtout pour l’adolescent dont le cerveau est toujours en formation et qui peut entraîner d’énormes difficultés.
Au point de vu santé publique, comment ne pas évoquer les méfaits du tabac et de l’alcool. Le premier provoque 70 000 morts par an et le second 50 000, soit 120 000 vies qui pourraient être épargnées. En 20 ans, c’est comme si l’on avait tué une ville comme Paris.
*Bien évidemment, nous aborderons toutes les formes d’addictions, à celles déjà évoquées mais aussi aux jeux en ligne, au sexe, travail, sport, mal bouffe… ».
Interrogés sur le projet de salle de shoot, les deux hommes sont favorables. « C’est une méthode déjà employée dans plusieurs pays d’Europe. C’est une mesure de santé publique pour les personnes de plus en difficulté. Il faut bien comprendre que c’est un accompagnement médical et non un bar à défonce. Si c’est bien organisé, c’est une excellente mesure proposée par la ministre de la Santé ».
Les docteurs Karila et Lowenstein espèrent que ce débat permettra d’apporter des réponses à tous ceux qui sont confrontés à des problèmes d’addiction et de drogue.
Laurent Karila est chez lui à L’Ile-Rousse d’où son épouse est originaire.
« C’est avec beaucoup de fierté que je viens en Corse pour animer cette conférence-débat en compagnie de mon mentor, le docteur William Lowenstein qui sera le modérateur Au cours de cette soirée, on abordera toutes les formes d’addictions et du dopage sur la thématique du sport ou encore comment peut-on devenir addic et sur les comportement qui rendent dépendant.
Au chapitre de la drogue, on abordera celle du cannabis, véritable maladie de l’adolescent, de la cocaîne qui font une percée monstrueuse dans toutes les classes de la société.
Autre volet qui sera abordé, celui des drogue de synthèse sur internet qui risque de faire de gros ravages ».
Le Dr William Lowenstein sur la consommation du cannabis : « Ce n’est pas bon pour la santé chez l’adulte mais aussi et surtout pour l’adolescent dont le cerveau est toujours en formation et qui peut entraîner d’énormes difficultés.
Au point de vu santé publique, comment ne pas évoquer les méfaits du tabac et de l’alcool. Le premier provoque 70 000 morts par an et le second 50 000, soit 120 000 vies qui pourraient être épargnées. En 20 ans, c’est comme si l’on avait tué une ville comme Paris.
*Bien évidemment, nous aborderons toutes les formes d’addictions, à celles déjà évoquées mais aussi aux jeux en ligne, au sexe, travail, sport, mal bouffe… ».
Interrogés sur le projet de salle de shoot, les deux hommes sont favorables. « C’est une méthode déjà employée dans plusieurs pays d’Europe. C’est une mesure de santé publique pour les personnes de plus en difficulté. Il faut bien comprendre que c’est un accompagnement médical et non un bar à défonce. Si c’est bien organisé, c’est une excellente mesure proposée par la ministre de la Santé ».
Les docteurs Karila et Lowenstein espèrent que ce débat permettra d’apporter des réponses à tous ceux qui sont confrontés à des problèmes d’addiction et de drogue.