"Deux jeunes hommes âgés de 20 ans, l'un connu de la justice, notamment pour des faits de violences, et l'autre inconnu, ont été placés en garde à vue à 14h20 après s'être présentés sans avocat au commissariat d'Ajaccio", a indiqué le parquet d'Ajaccio, confirmant une information de Corse-Matin.
Ces deux personnes "nient avoir exercé des violences physiques à l'encontre du père de Kenzo et de Kenzo lui-même", a précisé le procureur de la République d'Ajaccio, Nicolas Septe, dans un communiqué, en soulignant que "leurs déclarations devront encore être confrontées aux éléments rapportés par l’enquête de flagrance".
Kenzo, jeune supporter de l'Olympique de Marseille âgé de huit ans et atteint d'un cancer au cerveau, avait été invité le 3 juin en Corse pour réaliser son "rêve" de rencontrer des joueurs du club de Ligue 1 de football.
Alors qu'il se trouvait dans une loge du stade avec son père et son frère, des individus avaient fait irruption et avaient frappé le père de famille avant de repartir avec son maillot de l'OM, selon les premiers éléments de l'enquête.
Depuis, le déroulé précis des faits fait l'objet de versions divergentes, l'ACA ayant tout d'abord dénoncé dès le lendemain des "actes inqualifiables" en assurant que "Kenzo et ses parents" avaient "été honteusement violentés par des individus qui se sont introduits dans leur loge", avant de revenir sur sa version des faits quelques jours plus tard.
Dans un nouveau communiqué, le président du club Alain Orsoni avait alors affirmé, après avoir visionné les images de vidéosurveillance, que "la gravité des agissements de certains supporters ajacciens, au demeurant répréhensibles, (avait) été très nettement exagérée".
Amandine, la mère de Kenzo, avait indiqué à l'AFP que les individus avaient pénétré dans la loge, bousculant l'enfant: "Il est tombé, il a tapé le côté de son visage sur la barre du siège et du balcon. Et mon mari était juste derrière (...) ils lui ont dit "donne-nous ton maillot". Il a enlevé son maillot, ils lui ont mis deux coups de poing dans la tête".
Une enquête a été ouverte pour "violences en réunion" afin de faire la lumière sur ces faits.
Cette affaire a suscité une vive émotion et des réactions jusqu'au président de la République, Emmanuel Macron, qui a demandé des sanctions "claires et fortes". La Ligue de football professionnel (LFP) et l'ACA ont déposé plainte dans cette affaire.
Un journaliste de France 3 Via Stella avait également été agressé en marge du match comptant pour la dernière journée de la saison de Ligue 1.
Ces deux personnes "nient avoir exercé des violences physiques à l'encontre du père de Kenzo et de Kenzo lui-même", a précisé le procureur de la République d'Ajaccio, Nicolas Septe, dans un communiqué, en soulignant que "leurs déclarations devront encore être confrontées aux éléments rapportés par l’enquête de flagrance".
Kenzo, jeune supporter de l'Olympique de Marseille âgé de huit ans et atteint d'un cancer au cerveau, avait été invité le 3 juin en Corse pour réaliser son "rêve" de rencontrer des joueurs du club de Ligue 1 de football.
Alors qu'il se trouvait dans une loge du stade avec son père et son frère, des individus avaient fait irruption et avaient frappé le père de famille avant de repartir avec son maillot de l'OM, selon les premiers éléments de l'enquête.
Depuis, le déroulé précis des faits fait l'objet de versions divergentes, l'ACA ayant tout d'abord dénoncé dès le lendemain des "actes inqualifiables" en assurant que "Kenzo et ses parents" avaient "été honteusement violentés par des individus qui se sont introduits dans leur loge", avant de revenir sur sa version des faits quelques jours plus tard.
Dans un nouveau communiqué, le président du club Alain Orsoni avait alors affirmé, après avoir visionné les images de vidéosurveillance, que "la gravité des agissements de certains supporters ajacciens, au demeurant répréhensibles, (avait) été très nettement exagérée".
Amandine, la mère de Kenzo, avait indiqué à l'AFP que les individus avaient pénétré dans la loge, bousculant l'enfant: "Il est tombé, il a tapé le côté de son visage sur la barre du siège et du balcon. Et mon mari était juste derrière (...) ils lui ont dit "donne-nous ton maillot". Il a enlevé son maillot, ils lui ont mis deux coups de poing dans la tête".
Une enquête a été ouverte pour "violences en réunion" afin de faire la lumière sur ces faits.
Cette affaire a suscité une vive émotion et des réactions jusqu'au président de la République, Emmanuel Macron, qui a demandé des sanctions "claires et fortes". La Ligue de football professionnel (LFP) et l'ACA ont déposé plainte dans cette affaire.
Un journaliste de France 3 Via Stella avait également été agressé en marge du match comptant pour la dernière journée de la saison de Ligue 1.