Il flottait comme un air de Japon, vendredi soir dans les salons napoléoniens de la mairie d’Ajaccio.
A l’aube du premier festival du Japon organisé dans la ville samedi, le premier adjoint à la mairie, Stéphane Sbraggia recevait le consul général adjoint, M. Gomakubo, à l’hôtel de ville.
En place depuis 4 mois à Marseille, ce dernier s’est réjoui dans la tenue de ce premier festival en l’honneur de son pays dans la cité impériale. Et voulant marquer sa joie d’être présent ici ce soir, il a tenu à faire partager une anecdote personnelle : « C’est aujourd’hui la première fois que je me rends en Corse. Mais il me tardait de la découvrir. J’ai pour elle un attachement profond. Mon premier professeur de français était d’origine corse et me parlait souvent de son île. Je m’étais promis de m’y rendre un jour, et aujourd’hui j’ai la chance de le faire en représentant mon pays », a-t-il expliqué.
Un séjour dont il gardera en souvenir un couteau, réalisé par un artisan insulaire, offert par le premier adjoint, qui n’a pas manquer de souligner que leurs îles sont toutes deux mondialement connues pour leur art de la coutellerie.
Stéphane Sbraggia a par ailleurs tenu à saluer l’association Corse-Japon Umi No Naka, dont l’équipe très active a permis l’organisation de ce festival samedi. Une journée qui sera l’occasion de faire découvrir ou redécouvrir au public ajaccien les rites et savoir faire nippons. « Que la ville d’Ajaccio puisse profiter de cette rencontre pour s’instruire et s’ouvrir à cette culture », s’est réjouit le premier adjoint.
A l’aube du premier festival du Japon organisé dans la ville samedi, le premier adjoint à la mairie, Stéphane Sbraggia recevait le consul général adjoint, M. Gomakubo, à l’hôtel de ville.
En place depuis 4 mois à Marseille, ce dernier s’est réjoui dans la tenue de ce premier festival en l’honneur de son pays dans la cité impériale. Et voulant marquer sa joie d’être présent ici ce soir, il a tenu à faire partager une anecdote personnelle : « C’est aujourd’hui la première fois que je me rends en Corse. Mais il me tardait de la découvrir. J’ai pour elle un attachement profond. Mon premier professeur de français était d’origine corse et me parlait souvent de son île. Je m’étais promis de m’y rendre un jour, et aujourd’hui j’ai la chance de le faire en représentant mon pays », a-t-il expliqué.
Un séjour dont il gardera en souvenir un couteau, réalisé par un artisan insulaire, offert par le premier adjoint, qui n’a pas manquer de souligner que leurs îles sont toutes deux mondialement connues pour leur art de la coutellerie.
Stéphane Sbraggia a par ailleurs tenu à saluer l’association Corse-Japon Umi No Naka, dont l’équipe très active a permis l’organisation de ce festival samedi. Une journée qui sera l’occasion de faire découvrir ou redécouvrir au public ajaccien les rites et savoir faire nippons. « Que la ville d’Ajaccio puisse profiter de cette rencontre pour s’instruire et s’ouvrir à cette culture », s’est réjouit le premier adjoint.
Manon PERELLI