Hausse de la CSG, non augmentation des pensions, perte de pouvoir d’achat…sont autant de sujets préoccupants en Corse où les retraités sont plus nombreux et plus pauvres que la moyenne nationale.
Si les pensions qui devaient augmenter de +0.8% en octobre ne le seront que l’année prochaine, la CSG (contribution sociale généralisée) va quant à elle augmenter de 1,7% ce qui la fera passer de 6,6 à 8,3%.
60% des retraités corses seront touchés par cette mesure. A titre d’exemples, une retraite de 1 000 euros/mois sera amputée de 204 euros/an, et une de 1 500 euros de 306 euros.
Cette hausse de la CSG devrait compenser la suppression des cotisations chômage et maladie du secteur privé. L’Etat veut ainsi redonner du pouvoir d’achat aux actifs. Une hausse qui ne concernerait pas les retraités les plus modestes.
Etait aussi mis en cause lors de cette journée en Corse la majorité territoriale sur la baisse des prix dans les transports basée sur les revenus des retraités, et qui n’a toujours pas été mise en place.
L’intersyndicale réclame aussi à ce sujet la création d’une commission de suivi.
Si les pensions qui devaient augmenter de +0.8% en octobre ne le seront que l’année prochaine, la CSG (contribution sociale généralisée) va quant à elle augmenter de 1,7% ce qui la fera passer de 6,6 à 8,3%.
60% des retraités corses seront touchés par cette mesure. A titre d’exemples, une retraite de 1 000 euros/mois sera amputée de 204 euros/an, et une de 1 500 euros de 306 euros.
Cette hausse de la CSG devrait compenser la suppression des cotisations chômage et maladie du secteur privé. L’Etat veut ainsi redonner du pouvoir d’achat aux actifs. Une hausse qui ne concernerait pas les retraités les plus modestes.
Etait aussi mis en cause lors de cette journée en Corse la majorité territoriale sur la baisse des prix dans les transports basée sur les revenus des retraités, et qui n’a toujours pas été mise en place.
L’intersyndicale réclame aussi à ce sujet la création d’une commission de suivi.