C'est en famille qu'une quarantaine de cyclistes se sont rassemblés de à 10 heures au parking de Castellani, symbole de l’entrée de ville d’Ajaccio. L’itinéraire a emprunté l’ensemble des infrastructures cyclables ajacciennes, mettant en évidence le manque de cohérence des aménagements, qui se traduit par des discontinuités flagrantes, ainsi que la difficulté d’emprunter ces axes qui ne sont pas toujours adaptés.
Le cortège a fait une halte au terre-plein de la gare, où l’atelier Velibertà de l’association Velocità remet en état des vélos pour les mettre à disposition d’usagers souhaitant « se remettre en selle ». L’objectif est d’aider ces potentiels utilisateurs du vélo à passer l’acte.
Après une pause place Miot, remarquable espace de vie ajaccien, le périple s'est terminé à la plage Barbicaja pour un pique-nique.
Par cette action, les associations cherchent à sensibiliser les citoyens sur les conséquences du « tout automobile », expression signifiant que tout a été pensé et conçu uniquement à destination de la voiture. Les symptômes sont nombreux : congestion routière, difficultés de stationnement, pollution de l’air, nuisances sonores, omniprésence de la voiture, en particulier dans tous les espaces délaissés.
Le manque d’espace lié la topographie de la ville, coincée entre mer et montagne, empêche de créer de nouvelles infrastructures routières.
En repensant les déplacements à Ajaccio, et en encourageant les modes actifs, la ville s’orienterait vers une mobilité moins polluante, moins coûteuse pour l’usager comme pour la collectivité et plus saine , bref vers un « mieux vivre » pour tous.
Le cortège a fait une halte au terre-plein de la gare, où l’atelier Velibertà de l’association Velocità remet en état des vélos pour les mettre à disposition d’usagers souhaitant « se remettre en selle ». L’objectif est d’aider ces potentiels utilisateurs du vélo à passer l’acte.
Après une pause place Miot, remarquable espace de vie ajaccien, le périple s'est terminé à la plage Barbicaja pour un pique-nique.
Par cette action, les associations cherchent à sensibiliser les citoyens sur les conséquences du « tout automobile », expression signifiant que tout a été pensé et conçu uniquement à destination de la voiture. Les symptômes sont nombreux : congestion routière, difficultés de stationnement, pollution de l’air, nuisances sonores, omniprésence de la voiture, en particulier dans tous les espaces délaissés.
Le manque d’espace lié la topographie de la ville, coincée entre mer et montagne, empêche de créer de nouvelles infrastructures routières.
En repensant les déplacements à Ajaccio, et en encourageant les modes actifs, la ville s’orienterait vers une mobilité moins polluante, moins coûteuse pour l’usager comme pour la collectivité et plus saine , bref vers un « mieux vivre » pour tous.