Une action de soutien s'est déroulée ce mercredi matin devant les grilles du Rectorat "pour soulever l'injustice qui touche une enseignante d'EPS Julie Girault" indique e syndicat national des professeurs d'éducation physique et sportive (Snep).
Le syndicat rappelle que "cette dernière a une expérience de 10 ans en tant que contractuelle et pouvait prétendre lors de l'obtention de son concours (CAPEPS) à une bonification lui permettant de rester sur l'île."
Malheureusement pour elle, une règle l'oblige à avoir 1 an de service sur les 2 dernières années avant le concours, sachant que l'année 2020 ne lui a offert qu'un contrat de 10 heures, insuffisant pour prétendre au barème.
Dès lors le SNEP-FSU (Syndicat national des professeurs d'EPS) a demandé une audience "pour mettre en avant cette injustice" et également alerté sur les conséquences "d'une mutation pour Dijon d'une collègue élevant un enfant de 9 ans en garde partagée".
Reçus mercredi par les services du Rectorat, le Snep-Fsu et Julie Girault ont obtenu une nouvelle audience en présence du Recteur de l'académie le 15 juillet prochain...
Le syndicat rappelle que "cette dernière a une expérience de 10 ans en tant que contractuelle et pouvait prétendre lors de l'obtention de son concours (CAPEPS) à une bonification lui permettant de rester sur l'île."
Malheureusement pour elle, une règle l'oblige à avoir 1 an de service sur les 2 dernières années avant le concours, sachant que l'année 2020 ne lui a offert qu'un contrat de 10 heures, insuffisant pour prétendre au barème.
Dès lors le SNEP-FSU (Syndicat national des professeurs d'EPS) a demandé une audience "pour mettre en avant cette injustice" et également alerté sur les conséquences "d'une mutation pour Dijon d'une collègue élevant un enfant de 9 ans en garde partagée".
Reçus mercredi par les services du Rectorat, le Snep-Fsu et Julie Girault ont obtenu une nouvelle audience en présence du Recteur de l'académie le 15 juillet prochain...