Fred Scamaroni sait son réseau en partie repéré, mais veut terminer son travail à Ajaccio. Il y est arrêté par l'OVRA dans la maison des Vignocchi, dans la nuit du 18 au 19 mars 1943. Un rapport du contre-espionnage italien précise que les ongles lui avaient été arrachés et qu'il avait été brûlé au fer rouge. On lui promit la vie sauve s'il avouait tout. Il refusa. Dans sa cellule il écrivit avec son sang sur un petit morceau de papier : "Vive la France ! Vive de Gaulle!"
Vingt-quatre heures après, Fred Scamaroni, qui a résisté aux interrogatoires, se donne la mort dans sa cellule de la citadelle d'Ajaccio, le 19 mars 1943, à l'âge de 29 ans.
Le comité de la Corse-du-Sud de l’Association Nationale Des Anciens Combattants et Amis de la Résistance (A.N.A.C.R 2A) appelle à travers sa présidente Jacqueline Wroblewski-Arrii, les Ajacciens, toutes générations confondues, à participer à cette commémoration et à rendre hommage aux héros et martyrs de la Résistance afin de ne pas les oublier.
Vingt-quatre heures après, Fred Scamaroni, qui a résisté aux interrogatoires, se donne la mort dans sa cellule de la citadelle d'Ajaccio, le 19 mars 1943, à l'âge de 29 ans.
Le comité de la Corse-du-Sud de l’Association Nationale Des Anciens Combattants et Amis de la Résistance (A.N.A.C.R 2A) appelle à travers sa présidente Jacqueline Wroblewski-Arrii, les Ajacciens, toutes générations confondues, à participer à cette commémoration et à rendre hommage aux héros et martyrs de la Résistance afin de ne pas les oublier.