C’est pour répondre à une attente de reconnaissance officielle émanant de ces anciens supplétifs rapatriés que les députés et sénateurs, unanimes, ont voté la loi du 11 juin 1994.
Ce même esprit a motivé, en 2001, la décision du gouvernement, prise à la suite de la réunion du Haut Conseil de la Mémoire Combattante et conformément aux vœux du président de la République, de rendre un hommage particulier à ces anciens combattants sous la forme d’une journée d’hommage national, fixée au 25 septembre 2001.
Les supplétifs qui se sont battus aux côtés de l’armée française au cours de la guerre d’Algérie et que la mémoire collective métropolitaine a retenus sous le nom générique de Harkis, ont longtemps éprouvé le sentiment de ne pas voir leur histoire reconnue comme partie intégrante de l’histoire nationale.
Ce même esprit a motivé, en 2001, la décision du gouvernement, prise à la suite de la réunion du Haut Conseil de la Mémoire Combattante et conformément aux vœux du président de la République, de rendre un hommage particulier à ces anciens combattants sous la forme d’une journée d’hommage national, fixée au 25 septembre 2001.
Les supplétifs qui se sont battus aux côtés de l’armée française au cours de la guerre d’Algérie et que la mémoire collective métropolitaine a retenus sous le nom générique de Harkis, ont longtemps éprouvé le sentiment de ne pas voir leur histoire reconnue comme partie intégrante de l’histoire nationale.