- Que pensez-vous du parcours de votre équipe à ce jour ?
- Il est plutôt bon à domicile et moins à l’extérieur. On a dû composer avec de nombreuses absences même si je refuse de me retrancher derrière ce paramètre. L’essentiel, à mon sens, reste, de trouver une bonne animation offensive.
- Peut-on parler de match référence face à Nancy ?
- C’est vrai du point de vue offensif. On marque deux fois, on ne doute pas après l’égalisation et l’on se créée plusieurs occasions dont un tir sur le poteau. Offensivement, c’est à mon sens le match le plus abouti.
- Vous semblez avoir trouvé la bonne formule ?
- Je préfère parler d’animation plutôt que de formule ou de bon système. On peut jouer en 4-4-2, 4-3- 3, 5-4- 1, ce n’est pas là l’essentiel. L’important, c’est d’avoir une bonne base défensive et une bonne animation offensive. Sur ce point, le porteur du ballon doit toujours avoir une solution et des joueurs devant lui. Et cela nécessite du mouvement. C’est la clé du football.
- Abordons le derby. Quels ingrédients pour le gagner ?
- Dans un derby, il n’y a jamais de logique. Quant aux ingrédients, ils sont forcément différents d’un autre match. Il y a beaucoup plus d’intensité. On est prêt techniquement et physiquement. Mentalement, c’est aussi un travail individuel.
- Vous en avez connu en tant que joueur ou coach. Quel est votre plus beau souvenir ?
- L’année de l’accession avec Metz. Nous dominons complètement Nancy 3-0. Un match inoubliable même s’il reste le souvenir le plus récent.
- Le plus mauvais souvenir ?
-Une défaite à Saint Symphorien (1-0). J’étais, cette fois, sur le terrain. Tony Vairelles avait marqué l’unique but de la rencontre.
- Un derby corse est-il différent d’ailleurs ?
- Complètement ! La Corse est une terre d’Hommes avec un grand H, de passions et de football. La notion de derby prend véritablement une toute autre dimension. En outre, n’oublions pas que ce derby oppose deux clubs d’une même ville, ce qui est unique en France. A Metz, Lyon, Lens ou Rennes, il faut faire des kilomètres pour disputer un derby. A Ajaccio, les deux clubs sont voisins, qui plus est dans le monde professionnel. Et je vous rappelle, à ce titre, qu’Ajaccio est, même s’il s’agit d’une autre sphère footballistique, dans le même cas de figure que Madrid, Manchester, Londres, Milan, Turin…Ce qui est exceptionnel pour une ville de 60 000 habitants. Et je suis fier de participer à ce derby…
- Il est plutôt bon à domicile et moins à l’extérieur. On a dû composer avec de nombreuses absences même si je refuse de me retrancher derrière ce paramètre. L’essentiel, à mon sens, reste, de trouver une bonne animation offensive.
- Peut-on parler de match référence face à Nancy ?
- C’est vrai du point de vue offensif. On marque deux fois, on ne doute pas après l’égalisation et l’on se créée plusieurs occasions dont un tir sur le poteau. Offensivement, c’est à mon sens le match le plus abouti.
- Vous semblez avoir trouvé la bonne formule ?
- Je préfère parler d’animation plutôt que de formule ou de bon système. On peut jouer en 4-4-2, 4-3- 3, 5-4- 1, ce n’est pas là l’essentiel. L’important, c’est d’avoir une bonne base défensive et une bonne animation offensive. Sur ce point, le porteur du ballon doit toujours avoir une solution et des joueurs devant lui. Et cela nécessite du mouvement. C’est la clé du football.
- Abordons le derby. Quels ingrédients pour le gagner ?
- Dans un derby, il n’y a jamais de logique. Quant aux ingrédients, ils sont forcément différents d’un autre match. Il y a beaucoup plus d’intensité. On est prêt techniquement et physiquement. Mentalement, c’est aussi un travail individuel.
- Vous en avez connu en tant que joueur ou coach. Quel est votre plus beau souvenir ?
- L’année de l’accession avec Metz. Nous dominons complètement Nancy 3-0. Un match inoubliable même s’il reste le souvenir le plus récent.
- Le plus mauvais souvenir ?
-Une défaite à Saint Symphorien (1-0). J’étais, cette fois, sur le terrain. Tony Vairelles avait marqué l’unique but de la rencontre.
- Un derby corse est-il différent d’ailleurs ?
- Complètement ! La Corse est une terre d’Hommes avec un grand H, de passions et de football. La notion de derby prend véritablement une toute autre dimension. En outre, n’oublions pas que ce derby oppose deux clubs d’une même ville, ce qui est unique en France. A Metz, Lyon, Lens ou Rennes, il faut faire des kilomètres pour disputer un derby. A Ajaccio, les deux clubs sont voisins, qui plus est dans le monde professionnel. Et je vous rappelle, à ce titre, qu’Ajaccio est, même s’il s’agit d’une autre sphère footballistique, dans le même cas de figure que Madrid, Manchester, Londres, Milan, Turin…Ce qui est exceptionnel pour une ville de 60 000 habitants. Et je suis fier de participer à ce derby…