Dans le cadre de sa politique en matière de développement durable et de responsabilité sociétale des entreprises (RSE), Air Corsica a mis en place en ce début mai, la stratégie « Ambizione 2025 ». À travers ce plan, l’entreprise insulaire entend structurer grâce à une direction dédiée à la RSE, son action dans ce domaine. « Ce n’est pas nouveau, nous faisions déjà de la responsabilité sociale des entreprises sans le savoir il y a 30 ans. Nous avions démarré la démarche il y a plusieurs années avec par exemple le passage des gobelets en plastique au carton. À présent, nous voulions vraiment le structurer avec entre autres l’adoption du logo avec le pouce vert et la testa mora. Nous avons également fixé l’échéance de nos actions à 2025, mais il n’y a pas de doute qu’il y aura aussi un Ambizione 2030 ou 2035. », détaille Luc Bereni, président du directoire de la compagnie aérienne insulaire.
Dans cette lignée, depuis le 2 mai, Air Corsica est devenue la première entreprise aérienne française à instaurer le tri-sélectif dans le service à bord. « C’était important pour nous, en ayant conscience des difficultés de la Corse sur la thématique des déchets, d’éviter l’enfouissement et de contribuer à une démarche plus responsable », poursuit Luc Bereni qui assure ne pas avoir eu de mal à avoir l’adhésion de son personnel.
« Ambizione 2025 », prévoit également, avant l’échéance, de renouveler 70% de la flotte de la compagnie. Les changements d’appareils ont déjà débuté en 2019 avec l’arrivée de deux premiers Airbus 320 Néo qui étaient à cette époque, les premiers en circulation sur le territoire national. « Ces nouveaux avions ont un impact carbone immédiat puisqu’ils réduisent de 16% les émissions », continue le président du directoire. Avant la fin de l’année, l’ensemble des ATR devraient être remplacés.
Aider à la formation des jeunes insulaires
Avec plus de 700 employés en Corse, la compagnie aérienne est le troisième plus gros employeur de l’île. Air Corsica entend, grâce à « Ambizione 2025 », asseoir son ancrage sociétal en continuant à embaucher dans ce secteur aux emplois spécialisés. « Nous voulons continuer à susciter des vocations en accompagnant des jeunes dans les formations. Cela passe par des partenariats avec des entités locales comme l’Université de Corse ou avec le CFA. », souligne Luc Bereni.
Lors des 5 années à venir, la compagnie insulaire, qui entend encore se développer, aura besoin de pilotes, de personnels navigants, d’agents d’exploitation, mais aussi de mécaniciens. Pour combler cette demande, Air Corsica aimerait créer « un vivier » car actuellement, les jeunes qui se dirigent vers le secteur de l’aviation le font par « vocation individuelle ».
Dans cette lignée, depuis le 2 mai, Air Corsica est devenue la première entreprise aérienne française à instaurer le tri-sélectif dans le service à bord. « C’était important pour nous, en ayant conscience des difficultés de la Corse sur la thématique des déchets, d’éviter l’enfouissement et de contribuer à une démarche plus responsable », poursuit Luc Bereni qui assure ne pas avoir eu de mal à avoir l’adhésion de son personnel.
« Ambizione 2025 », prévoit également, avant l’échéance, de renouveler 70% de la flotte de la compagnie. Les changements d’appareils ont déjà débuté en 2019 avec l’arrivée de deux premiers Airbus 320 Néo qui étaient à cette époque, les premiers en circulation sur le territoire national. « Ces nouveaux avions ont un impact carbone immédiat puisqu’ils réduisent de 16% les émissions », continue le président du directoire. Avant la fin de l’année, l’ensemble des ATR devraient être remplacés.
Aider à la formation des jeunes insulaires
Avec plus de 700 employés en Corse, la compagnie aérienne est le troisième plus gros employeur de l’île. Air Corsica entend, grâce à « Ambizione 2025 », asseoir son ancrage sociétal en continuant à embaucher dans ce secteur aux emplois spécialisés. « Nous voulons continuer à susciter des vocations en accompagnant des jeunes dans les formations. Cela passe par des partenariats avec des entités locales comme l’Université de Corse ou avec le CFA. », souligne Luc Bereni.
Lors des 5 années à venir, la compagnie insulaire, qui entend encore se développer, aura besoin de pilotes, de personnels navigants, d’agents d’exploitation, mais aussi de mécaniciens. Pour combler cette demande, Air Corsica aimerait créer « un vivier » car actuellement, les jeunes qui se dirigent vers le secteur de l’aviation le font par « vocation individuelle ».