"Les communistes condamnent sans la moindre réserve cette destruction et les motivations avancées pour la « justifier ». Ils apportent leur soutien à la famille Ferracci, durement éprouvée, dont ils savent, comme tous les Bonifaciens, qu’il n’y a pas de spéculateurs en son sein" poursuit le communiqué.
Ils condamnent la traque politico-médiatique dont cette famille corse est l’objet depuis des années, sous couvert d’actions en justice, lesquelles doivent suivre leur cours sans pressions d’aucune sorte.
Nul n’est fondé à s’ériger en juge, à prononcer, à leur guise, sentences et sanctions, et à les mettre en application. Ceux qui se livrent à une véritable chasse à l’homme en invoquant des alibis « politiques », et cherchent à camoufler leurs forfaits sous les oripeaux indécents d’une « punition méritée », ceux-là ne peuvent représenter l’avenir de la Corse. Ils en sont même l’exact opposé : ils ne proposent rien d’autre qu’un recul de civilisation ; un retour archaïque vers le droit coutumier, l’anarchie et les injustices qui l’ont toujours accompagnée.
La situation politique, marquée par une lutte sociale de grande envergure pour défendre l’avenir des retraites, exige des mobilisations démocratiques nouvelles, non des agissements criminels clandestins. Il n’est pas inutile de le rappeler à ceux qui, nationalistes ou non, auraient encore de la sympathie pour la clandestinité armée. A tous, les communistes demandent de condamner clairement cet attentat ; leur positionnement dans cette affaire conditionne pour partie l’avenir du débat démocratique en Corse.
Ils condamnent la traque politico-médiatique dont cette famille corse est l’objet depuis des années, sous couvert d’actions en justice, lesquelles doivent suivre leur cours sans pressions d’aucune sorte.
Nul n’est fondé à s’ériger en juge, à prononcer, à leur guise, sentences et sanctions, et à les mettre en application. Ceux qui se livrent à une véritable chasse à l’homme en invoquant des alibis « politiques », et cherchent à camoufler leurs forfaits sous les oripeaux indécents d’une « punition méritée », ceux-là ne peuvent représenter l’avenir de la Corse. Ils en sont même l’exact opposé : ils ne proposent rien d’autre qu’un recul de civilisation ; un retour archaïque vers le droit coutumier, l’anarchie et les injustices qui l’ont toujours accompagnée.
La situation politique, marquée par une lutte sociale de grande envergure pour défendre l’avenir des retraites, exige des mobilisations démocratiques nouvelles, non des agissements criminels clandestins. Il n’est pas inutile de le rappeler à ceux qui, nationalistes ou non, auraient encore de la sympathie pour la clandestinité armée. A tous, les communistes demandent de condamner clairement cet attentat ; leur positionnement dans cette affaire conditionne pour partie l’avenir du débat démocratique en Corse.