L’équipe du Festival s’est rassemblée en début de mois pour préparer cette nouvelle édition.
L’occasion de rencontrer Christophe Bourseiller, totalement impliqué dans l’organisation de la manifestation.
- Christophe, te voilà de retour à Bastia pour préparer la prochaine édition du Festival Arte Mare. Coup de cœur pour la Corse ? Pour le Festival ? Ou pour les deux ?
- D'abord, c'est un coup de foudre d'amitié avec l'équipe d'Arte Mare. J'ai initialement visité Bastia en tant que jury il y a cinq ans.
J'ai aimé à la fois la simplicité, la gentillesse de l'accueil et la qualité cinéphilique. Et nos rapports se sont noués, comme une évidence...
- Depuis combien de temps interviens-tu pour le Festival et quel est ton rôle exact ?
- J'interviens depuis quatre ans. Je m'occupe du thème (cette année "journalisme et cinéma"), je cherche et trouve les invités qui lui correspondent et réfléchis aux films qui lui sont liés. Et je cherche et trouve plus généralement une partie des invités et des membres du jury. Ce fut un plaisir au fil du temps de faire venir à Bastia, entre beaucoup d'autres, Anna Karina, Jean-Pierre Mocky ou Volker Schlöndorff. En attendant la suite...
- Le journalisme est à l’honneur pour la prochaine édition. Pourquoi ce choix ?
- Parce que les médias et leur rapport au pouvoir ont toujours irrigué le cinéma. Je songe à Citizen Kane, aux Hommes du Président, à Network, ou plus récemment à Truman Show. Il fallait bien qu'un jour, Arte Mare... fasse les gros titres.
Par ailleurs, Arte Mare a décidé de renforcer sa collaboration avec le cinéma Le Régent de Bastia afin de proposer régulièrement des projections avec présentation et débats, autour de films méditerranéens. La première soirée aura lieu ce mercredi 22 mars à 19 heures, avec la diffusion de Personal Affairs, un film palestinien réalisé par une israélienne. Une combinaison surprenante qui ne mériterait pas de s’attarder dessus si elle ne reflétait pas le ton du film entier : funambule et inattendu.
L. H
L’occasion de rencontrer Christophe Bourseiller, totalement impliqué dans l’organisation de la manifestation.
- Christophe, te voilà de retour à Bastia pour préparer la prochaine édition du Festival Arte Mare. Coup de cœur pour la Corse ? Pour le Festival ? Ou pour les deux ?
- D'abord, c'est un coup de foudre d'amitié avec l'équipe d'Arte Mare. J'ai initialement visité Bastia en tant que jury il y a cinq ans.
J'ai aimé à la fois la simplicité, la gentillesse de l'accueil et la qualité cinéphilique. Et nos rapports se sont noués, comme une évidence...
- Depuis combien de temps interviens-tu pour le Festival et quel est ton rôle exact ?
- J'interviens depuis quatre ans. Je m'occupe du thème (cette année "journalisme et cinéma"), je cherche et trouve les invités qui lui correspondent et réfléchis aux films qui lui sont liés. Et je cherche et trouve plus généralement une partie des invités et des membres du jury. Ce fut un plaisir au fil du temps de faire venir à Bastia, entre beaucoup d'autres, Anna Karina, Jean-Pierre Mocky ou Volker Schlöndorff. En attendant la suite...
- Le journalisme est à l’honneur pour la prochaine édition. Pourquoi ce choix ?
- Parce que les médias et leur rapport au pouvoir ont toujours irrigué le cinéma. Je songe à Citizen Kane, aux Hommes du Président, à Network, ou plus récemment à Truman Show. Il fallait bien qu'un jour, Arte Mare... fasse les gros titres.
Par ailleurs, Arte Mare a décidé de renforcer sa collaboration avec le cinéma Le Régent de Bastia afin de proposer régulièrement des projections avec présentation et débats, autour de films méditerranéens. La première soirée aura lieu ce mercredi 22 mars à 19 heures, avec la diffusion de Personal Affairs, un film palestinien réalisé par une israélienne. Une combinaison surprenante qui ne mériterait pas de s’attarder dessus si elle ne reflétait pas le ton du film entier : funambule et inattendu.
L. H
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