La manifestation n’était pas en effet un rassemblement spontané sur la vague des hommages qui ont eu lieu partout en France, mais une réunion organisée par le VNC, Vigilenza Naziunale Corsa, qui dans un communiqué de presse invitait les citoyens à se rassembler « Dans un élan de solidarité, mais surtout afin que notre voix soit entendue parce qu'aujourd'hui nous refusons la politique d'immigration que la France nous impose ! Nous refusons la venue de migrants qui apportent le chaos ! ».
Et pendant que partout en France des milliers de personnes se recueillaient dans un silence quasi-absolu en respect aux victimes, à Bastia les membres du collectif invitaient les présents à réagir à l’islamisation de la Corse. « Nous ne sommes pas racistes, la Corse a toujours été une terre d’accueil pour ceux qui ont su respecter notre culture et notre façon de vivre». Selon Mme Massoni, du collectif VNC, la Corse est la région de France à subir le plus important flux migratoire et le risque de radicalisation est véritablement présent sur l’île. « Aujourd’hui Paris, demain peut-être la Corse.».
A ses mots, la réaction de quelques participants n’a pas tardé. Un homme a quitté le rassemblement en criant « Je me suis trompé, je pensais que c’était un rassemblement et pas de la propagande politique », un autre, plus loin, a aussi réagi et il y a eu un moment d’évidente hostilité entre les sympathisants du VNC et les quelques citoyens venus sur la Place en hommage aux victimes, toutes, de la barbarie humaine.
Et pendant que partout en France des milliers de personnes se recueillaient dans un silence quasi-absolu en respect aux victimes, à Bastia les membres du collectif invitaient les présents à réagir à l’islamisation de la Corse. « Nous ne sommes pas racistes, la Corse a toujours été une terre d’accueil pour ceux qui ont su respecter notre culture et notre façon de vivre». Selon Mme Massoni, du collectif VNC, la Corse est la région de France à subir le plus important flux migratoire et le risque de radicalisation est véritablement présent sur l’île. « Aujourd’hui Paris, demain peut-être la Corse.».
A ses mots, la réaction de quelques participants n’a pas tardé. Un homme a quitté le rassemblement en criant « Je me suis trompé, je pensais que c’était un rassemblement et pas de la propagande politique », un autre, plus loin, a aussi réagi et il y a eu un moment d’évidente hostilité entre les sympathisants du VNC et les quelques citoyens venus sur la Place en hommage aux victimes, toutes, de la barbarie humaine.
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