Le tag retrouvé sur la mairie d'Afa
Selon ce nouveau texte, ces "usurpateurs" seraient les auteurs d'un précédent communiqué, le 30 mars, qui affirmait que "GCC s'est formé sur plusieurs branches bien distinctes" et précisait que "plusieurs actions" ont été "menées par différents groupes". "Nous pensons qu'il y a plusieurs groupuscules ou plusieurs équipes agissant un peu comme des franchisés, avec des secteurs géographiques spécifiques", a indiqué à l'AFP une source proche de l'enquête en commentant ces communiqués.
Dans ce nouveau texte de trois pages, le groupe regrette que dans son communiqué du 30 mars, ce "groupe d'usurpateurs" ait "revendiqué (leurs) actions sans les expliquer ni même les comprendre", et condamne "fermement cet acte".
Si cela devait "se reproduire, le problème ne sera plus réglé avec un simple communiqué", met en garde ce dernier texte, dans une orthographe et une grammaire aussi approximatives que le précédent, avec notamment des fautes --ou de possibles messages codés, selon cette même source proche de l'enquête-- dans les noms d'Alain Ferrandi et Pierre Alessandri, tous deux condamnés à la perpétuité pour l'assassinat du préfet Erignac et récemment placés en semi-liberté en Corse.
"La chasse est ouverte"
Des menaces sont également adressées "aux vendeurs de drogue", à qui le groupe précise que leur "nom corse ne (les) protégera pas", assurant que "la chasse est désormais ouverte".
Comme le précédent communiqué du 30 mars, ce communiqué de mardi revendique les incendies criminels ayant visé les mairies d'Afa et Appietto, en périphérie d'Ajaccio: "En ciblant les mairies, nous attaquons directement l'Etat et les élus nationalistes qui n'ont su tenir leurs promesses", écrivent-ils.
Ce communiqué, qui n'est pas daté, ne fait aucune référence à l'incendie, dans la nuit de dimanche à lundi, de la maison d'une adjointe au maire d'Ajaccio sur laquelle un tag "GCC" a été retrouvé.
Contrairement au communiqué du 30 mars, dans lequel GCC semblait faire allégeance au FLNC en demandant son "entrée officielle" à ses côtés, ce dernier communiqué ne fait lui aucune référence au Front de libération nationale de la Corse et revendique même plusieurs de ses actions.
Le premier communiqué du GCC, dans lequel il annonçait sa création, remonte au 7 février. "Si une scission se confirme, on sera dans le digne héritage du FLNC qui s'est divisé plusieurs fois", avec "une possible nouvelle lutte fratricide", a avancé à l'AFP une source très au fait de l'histoire du nationalisme clandestin corse.
Dans ce nouveau texte de trois pages, le groupe regrette que dans son communiqué du 30 mars, ce "groupe d'usurpateurs" ait "revendiqué (leurs) actions sans les expliquer ni même les comprendre", et condamne "fermement cet acte".
Si cela devait "se reproduire, le problème ne sera plus réglé avec un simple communiqué", met en garde ce dernier texte, dans une orthographe et une grammaire aussi approximatives que le précédent, avec notamment des fautes --ou de possibles messages codés, selon cette même source proche de l'enquête-- dans les noms d'Alain Ferrandi et Pierre Alessandri, tous deux condamnés à la perpétuité pour l'assassinat du préfet Erignac et récemment placés en semi-liberté en Corse.
"La chasse est ouverte"
Des menaces sont également adressées "aux vendeurs de drogue", à qui le groupe précise que leur "nom corse ne (les) protégera pas", assurant que "la chasse est désormais ouverte".
Comme le précédent communiqué du 30 mars, ce communiqué de mardi revendique les incendies criminels ayant visé les mairies d'Afa et Appietto, en périphérie d'Ajaccio: "En ciblant les mairies, nous attaquons directement l'Etat et les élus nationalistes qui n'ont su tenir leurs promesses", écrivent-ils.
Ce communiqué, qui n'est pas daté, ne fait aucune référence à l'incendie, dans la nuit de dimanche à lundi, de la maison d'une adjointe au maire d'Ajaccio sur laquelle un tag "GCC" a été retrouvé.
Contrairement au communiqué du 30 mars, dans lequel GCC semblait faire allégeance au FLNC en demandant son "entrée officielle" à ses côtés, ce dernier communiqué ne fait lui aucune référence au Front de libération nationale de la Corse et revendique même plusieurs de ses actions.
Le premier communiqué du GCC, dans lequel il annonçait sa création, remonte au 7 février. "Si une scission se confirme, on sera dans le digne héritage du FLNC qui s'est divisé plusieurs fois", avec "une possible nouvelle lutte fratricide", a avancé à l'AFP une source très au fait de l'histoire du nationalisme clandestin corse.