La Nuit des Temps (Ed. Phileas, 1 tome)
(Scénario et dessin de Christian De Metter, d’après l’œuvre de René Barjavel)
« Les Expéditions Polaires françaises enregistrent le signal d'un émetteur sous la glace de l'Antarctique... L'expédition internationale découvre les ruines d'une civilisation disparue depuis 900 000 ans et les scientifiques du monde entier affluent vers le site pour aider à explorer et comprendre. Ils découvrent un objet ovoïde en or de trois mètres de diamètre dans lequel se trouvent en état de biostase un homme et une femme dont les têtes sont recouvertes de casques d'or. Simon, médecin de l'expédition, décide de procéder au réveil des corps en commençant par celui de la femme, le corps de l'homme montrant des traces de brûlures sur le torse... La Nuit des temps est un roman pacifiste et assez anarchisant. Russes et Américains, renvoyés dos à dos, travaillent malgré tout ensemble, à l'image de l'effort de dépassement des oppositions nationales, assez répandu dans le milieu des sciences de l'époque. Les savants court-circuitent les décisions des gouvernants. Notre civilisation paraît barbare face au raffinement et à la sagesse des savants des temps anciens, leur savoir immense risquant d'être perdu par la bêtise humaine.»
Habitué des adaptations de romans, Christian De Metter (Au Revoir Là-Haut, Nobody…) s’attaque à La Nuit des Temps de Barjavel en le transposant à notre époque tout en respectant le matériel de base et avec un traitement graphique qui met en valeur l’atmosphère et la poésie du récit.
Talion (Ed. Glénat, 1 tome paru)
(Scénario et dessin de Sylvain Ferret)
« Apprendre implique de souffrir... ». Le monde vit son dernier effondrement écologique. La Vermine s'insinue partout, dans la chair et la terre, dans le sang et dans l'air. La cité de ForenHaye, dernier bastion humain du royaume de Talion, lutte péniblement contre la violence de cette maladie du vivant. Et tandis qu'au-dessus du nuage de pollution, à la cime de la citadelle, les nobles survivent grâce à l'eau dépolluée, dans les bas-fonds des quartiers Racines, les plus démunis peinent à s'approvisionner en eau potable, jusqu'à en perdre l'esprit. Fille privilégiée des régentes des Racines, Billie, intrépide, aide les laissés-pour-compte en détournant les ressources réservées à une noblesse décadente qui attend impatiemment la mort de son roi Sirius Talion, monarque éteint d'une dynastie frappée d'infamie. Dans le même temps, Tadeus, un vagabond mystérieux, arpente continuellement les ruines souterraines de l'ancienne cité, menant des expériences pour la création d'un remède au mal qui ronge l'environnement. La rencontre de ces deux âmes complexes, de l'espoir et de la culpabilité, va peut-être permettre de réouvrir le dialogue avec une nature à l'agonie. »
Sylvain Ferret (Métamorphoses 1858, Androïdes t.9…) reprend le thème d’une ville dirigée par les privilégiés en haut et les pauvres en bas, pour en faire un voyage initiatique avec des enjeux écologiques et technologiques sans être manichéen. Le dessin, riche en détails, donne la part belle aux environnements et à l’ambiance de l’histoire.
« Apprendre implique de souffrir... ». Le monde vit son dernier effondrement écologique. La Vermine s'insinue partout, dans la chair et la terre, dans le sang et dans l'air. La cité de ForenHaye, dernier bastion humain du royaume de Talion, lutte péniblement contre la violence de cette maladie du vivant. Et tandis qu'au-dessus du nuage de pollution, à la cime de la citadelle, les nobles survivent grâce à l'eau dépolluée, dans les bas-fonds des quartiers Racines, les plus démunis peinent à s'approvisionner en eau potable, jusqu'à en perdre l'esprit. Fille privilégiée des régentes des Racines, Billie, intrépide, aide les laissés-pour-compte en détournant les ressources réservées à une noblesse décadente qui attend impatiemment la mort de son roi Sirius Talion, monarque éteint d'une dynastie frappée d'infamie. Dans le même temps, Tadeus, un vagabond mystérieux, arpente continuellement les ruines souterraines de l'ancienne cité, menant des expériences pour la création d'un remède au mal qui ronge l'environnement. La rencontre de ces deux âmes complexes, de l'espoir et de la culpabilité, va peut-être permettre de réouvrir le dialogue avec une nature à l'agonie. »
Sylvain Ferret (Métamorphoses 1858, Androïdes t.9…) reprend le thème d’une ville dirigée par les privilégiés en haut et les pauvres en bas, pour en faire un voyage initiatique avec des enjeux écologiques et technologiques sans être manichéen. Le dessin, riche en détails, donne la part belle aux environnements et à l’ambiance de l’histoire.
Les Contes des Cœurs Perdus - Mauvais Sang (Ed. Delcourt Jeunesse, 1 tome paru)
(Scénario de Loïc Clément et dessin de Lionel Richerand)
« Tristan Ténébrae est un vampire millénaire à l'apparence d'un petit garçon de 8 ans. Angoissé, ce drôle de Nosferatu est perclus de stress et d'inquiétudes trop nombreuses pour être listées et que malheureusement le dévoué Mr Jingle, son majordome Orang Outang, peine à tempérer. Mais sa rencontre avec Aurore, cheffe de tribu d'une curieuse famille d'accueil, va changer la donne.»
Loïc Clément (Les Jours de Pluie, Le Temps des Mitaines…) aborde des sujets tels que la peur, l’angoisse, la famille au travers de cette histoire qui mêle habilement sérieux et humour. Il est accompagné par Lionel Richerand (L’Esprit de Lewis, Dans la Forêt…) qui met en scène le récit avec un dessin coloré et foisonnant de détails.
« Tristan Ténébrae est un vampire millénaire à l'apparence d'un petit garçon de 8 ans. Angoissé, ce drôle de Nosferatu est perclus de stress et d'inquiétudes trop nombreuses pour être listées et que malheureusement le dévoué Mr Jingle, son majordome Orang Outang, peine à tempérer. Mais sa rencontre avec Aurore, cheffe de tribu d'une curieuse famille d'accueil, va changer la donne.»
Loïc Clément (Les Jours de Pluie, Le Temps des Mitaines…) aborde des sujets tels que la peur, l’angoisse, la famille au travers de cette histoire qui mêle habilement sérieux et humour. Il est accompagné par Lionel Richerand (L’Esprit de Lewis, Dans la Forêt…) qui met en scène le récit avec un dessin coloré et foisonnant de détails.