« Je nous considère en fait 4ème au classement car nous avons ce match d’avance à Ozon. Mais le bilan est satisfaisant. Je pense quand même qu’on aurait pu faire beaucoup mieux à l’extérieur et ne concéder que 1 ou 2 défaites. Il est vrai que l’on a connu une préparation difficile avec l’arrivée tardive de nos deux recrues Sabine Egle et Nabi Diaw. Sur le parquet je nourris quelques regrets sur certains matchs. Notamment à Rousset où on avait toutes les cartes en mains pour gagner. Regrets aussi sur notre défaite à domicile contre le leader Carqueiranne. Nous avons été battus sur la fin face à l’expérience des basketteuses varoises ».
- Les deux recrues Egle et Diaw ?
- Le bilan est mitigé. Nous ne conserverons pas Sabine pour la 2ème partie du championnat. Elle ne nous a pas apporté ce qu’on attendait d’elle. Certes elle possède des qualités mais elle a manqué de motivation et la barrière de la langue a été un gros handicap pour elle. Nabi Diaw par contre, après un début difficile et un certain temps d’adaptation, s’impose de plus en plus au sein du groupe. A 34 ans, sa présence physique et sa maturité sont précieuses et elle encadre efficacement notre jeunesse ».
- Toujours beaucoup de maladresses ?
- Exact mais on travaille bien sûr ce secteur. Les filles ont aussi des difficultés de compréhension et de lecture du jeu et ça permet parfois à remettre notre adversaire en selle »
Contrairement aux années précédentes vous êtes seul sur le banc pour coacher…
« Philippe Riggi mon adjoint de l’an passé a voulu se consacrer aux équipes de jeunes. En début de saison, la marraine du club, l’ancienne internationale Clémence Beikes, est venu nous rejoindre et m’a assisté. Mais au fil des semaines Clémence n’a pas trouvé son plaisir dans cette fonction et a préféré ne pas continuer. C’est vrai que parfois c’est dur pour moi de gérer seul le groupe car je ne vois pas tout. Aujourd’hui, après 4 ans d’expérience à ce niveau, je suis moins bouillonnant, j’ai pris un peu de recul. J’ai des filles très joueuses, un brin chambreuses et je ne les prends plus au 1er degré. J’ai une autre approche, un autre discours ».
- Les objectifs ?
- Pour l’instant nous ne nous sommes pas fixés d’objectifs. On prend les matchs les uns après les autres. Je pense quand même qu’avec ce groupe on peut terminer dans les 4 premiers. Le groupe fait preuve d’une bonne cohésion et de caractère. Les filles l’ont prouvé lors de certains matchs en allant jusqu’au bout d’elles-mêmes pour arracher la victoire. Dans le jeu on rivalise avec les meilleures. Il nous faudra gérer nos déplacements, les organismes, se serrer les coudes. Rien n’est impossible et on peut très bien s’imposer à l’extérieur aussi. Chacune des filles apporte son écot sur le terrain. Nous avons aussi deux jeunes de 15 ans qui boostent les plus anciennes.
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Le FBC reprendra la compétition le 15 janvier à Rognac puis recevra Mandelieu le 22 avant de conclure ce mois de janvier à Vence.
- Les deux recrues Egle et Diaw ?
- Le bilan est mitigé. Nous ne conserverons pas Sabine pour la 2ème partie du championnat. Elle ne nous a pas apporté ce qu’on attendait d’elle. Certes elle possède des qualités mais elle a manqué de motivation et la barrière de la langue a été un gros handicap pour elle. Nabi Diaw par contre, après un début difficile et un certain temps d’adaptation, s’impose de plus en plus au sein du groupe. A 34 ans, sa présence physique et sa maturité sont précieuses et elle encadre efficacement notre jeunesse ».
- Toujours beaucoup de maladresses ?
- Exact mais on travaille bien sûr ce secteur. Les filles ont aussi des difficultés de compréhension et de lecture du jeu et ça permet parfois à remettre notre adversaire en selle »
Contrairement aux années précédentes vous êtes seul sur le banc pour coacher…
« Philippe Riggi mon adjoint de l’an passé a voulu se consacrer aux équipes de jeunes. En début de saison, la marraine du club, l’ancienne internationale Clémence Beikes, est venu nous rejoindre et m’a assisté. Mais au fil des semaines Clémence n’a pas trouvé son plaisir dans cette fonction et a préféré ne pas continuer. C’est vrai que parfois c’est dur pour moi de gérer seul le groupe car je ne vois pas tout. Aujourd’hui, après 4 ans d’expérience à ce niveau, je suis moins bouillonnant, j’ai pris un peu de recul. J’ai des filles très joueuses, un brin chambreuses et je ne les prends plus au 1er degré. J’ai une autre approche, un autre discours ».
- Les objectifs ?
- Pour l’instant nous ne nous sommes pas fixés d’objectifs. On prend les matchs les uns après les autres. Je pense quand même qu’avec ce groupe on peut terminer dans les 4 premiers. Le groupe fait preuve d’une bonne cohésion et de caractère. Les filles l’ont prouvé lors de certains matchs en allant jusqu’au bout d’elles-mêmes pour arracher la victoire. Dans le jeu on rivalise avec les meilleures. Il nous faudra gérer nos déplacements, les organismes, se serrer les coudes. Rien n’est impossible et on peut très bien s’imposer à l’extérieur aussi. Chacune des filles apporte son écot sur le terrain. Nous avons aussi deux jeunes de 15 ans qui boostent les plus anciennes.
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Le FBC reprendra la compétition le 15 janvier à Rognac puis recevra Mandelieu le 22 avant de conclure ce mois de janvier à Vence.