Charles Voglimacci (à gauche) président du SDIS va déposer plainte pour "atteinte aux personnes et destruction de matériel." (SDIS2A)
Un incendie qui aura détruit 100 hectares de pinède et 200 hectares de maquis, plusieurs véhicules de secours, engagés dans cette lutte contre le feu, et, enfin et surtout, fait cinq blessés : de jeunes pompiers passés près de l’irréparable, mais qui sont à cette heure hors de danger.
Toujours hospitalisés, ils souffrent de brûlures importantes aux mains et au visage, mais qui ne devraient pas, selon les médecins, laisser de séquelles.
Romain Delmon, directeur de cabinet du préfet, Charles Voglimacci président du SDIS, Jean-Baptiste Giffon, maire de Bastelica, Alexandre Sarrola, conseiller départemental et le Colonel Bruno Maestracci, directeur départemental, ont remercié chaleureusement en fin de journée tous les personnels engagés dans cette lutte contre le feu.
Charles Voglimacci président du SDIS déposera plainte pour "atteinte aux personnes et destruction de matériel." Une démarche qu’aucun président du SDIS n’avait fait jusqu’à présent.
Chacun espère qu’elle pourra mener à l’arrestation de l’individu qui n’a pas ces dernières 24 heures "joué" qu’avec le feu, mais aussi avec des vies humaines.
Samedi soir une personne était en garde à vue dans les locaux de la gendarmerie.
Toujours hospitalisés, ils souffrent de brûlures importantes aux mains et au visage, mais qui ne devraient pas, selon les médecins, laisser de séquelles.
Romain Delmon, directeur de cabinet du préfet, Charles Voglimacci président du SDIS, Jean-Baptiste Giffon, maire de Bastelica, Alexandre Sarrola, conseiller départemental et le Colonel Bruno Maestracci, directeur départemental, ont remercié chaleureusement en fin de journée tous les personnels engagés dans cette lutte contre le feu.
Charles Voglimacci président du SDIS déposera plainte pour "atteinte aux personnes et destruction de matériel." Une démarche qu’aucun président du SDIS n’avait fait jusqu’à présent.
Chacun espère qu’elle pourra mener à l’arrestation de l’individu qui n’a pas ces dernières 24 heures "joué" qu’avec le feu, mais aussi avec des vies humaines.
Samedi soir une personne était en garde à vue dans les locaux de la gendarmerie.