L’IFRTS Corse, (Institut de Formation et recherche en Travail Social, Médico-Social et Sanitaire) a choisi, en cette fin d’année, de proposer une grande soirée autour de la projection du documentaire La Sociale de Gilles Perret.
Le film, sorti en salle le 9 novembre dernier, relate l’aventure de cette avancée sociale sans précédent. Il y a 70 ans naissait la Sécurité Sociale sous l’impulsion du mouvement ouvrier et d’un certain Ambroise Croizat. Des experts comme Michel Etiévent, historien, Jolfred Frégonara, responsable départemental CGT en 1946, reviennent sur l’histoire chaotique de la « Sécu », de son évolution dans une société de plus en plus mondialisée.
Avec ce film, Gille Perret, à qui l’on doit Les Jours Heureux en 2013 sur le programme du Conseil national de la Résistance, continue son travail de mémoire. L’histoire d’une lutte qui n’est jamais finie. L’histoire surtout d’une longue bataille vers la dignité tout en dressant, en parallèle, le portrait d’un homme et celui d’une institution incarnée par ses acteurs au quotidien.
L’intérêt du documentaire est aussi de revenir sur le parcours d’Ambroise Croizat, trop méconnu aujourd’hui alors qu’il fut le principal bâtisseur de cet édifice des plus humanistes.
A l’issue de la projection, un débat est prévu autour de questions-réponses afin de permettre aux plus anciens comme aux plus jeunes de confronter leurs avis et leurs interrogations.
Le film, sorti en salle le 9 novembre dernier, relate l’aventure de cette avancée sociale sans précédent. Il y a 70 ans naissait la Sécurité Sociale sous l’impulsion du mouvement ouvrier et d’un certain Ambroise Croizat. Des experts comme Michel Etiévent, historien, Jolfred Frégonara, responsable départemental CGT en 1946, reviennent sur l’histoire chaotique de la « Sécu », de son évolution dans une société de plus en plus mondialisée.
Avec ce film, Gille Perret, à qui l’on doit Les Jours Heureux en 2013 sur le programme du Conseil national de la Résistance, continue son travail de mémoire. L’histoire d’une lutte qui n’est jamais finie. L’histoire surtout d’une longue bataille vers la dignité tout en dressant, en parallèle, le portrait d’un homme et celui d’une institution incarnée par ses acteurs au quotidien.
L’intérêt du documentaire est aussi de revenir sur le parcours d’Ambroise Croizat, trop méconnu aujourd’hui alors qu’il fut le principal bâtisseur de cet édifice des plus humanistes.
A l’issue de la projection, un débat est prévu autour de questions-réponses afin de permettre aux plus anciens comme aux plus jeunes de confronter leurs avis et leurs interrogations.