Claude Franceschi
- Fole in Festa sera le premier d’une longue série ?
- On aimerait bien que ce soit pérennisé, bien sur. Cette année notre projet a été soutenus par les municipalités de Bastia et de Ville di Pietrabugno qui avec leur aide nous ont permis d’inviter des conteurs occitanes qui ont fait connaitre au public la culture traditionnelle d’une autre région.
- Quels sont les types d’histoire que vous racontez ?
- Tout d’abord, et c’est un choix délibéré, nous racontons que des contes positifs car il y a suffisamment des catastrophes pour que nous on en rajoutions derrière… Les thèmes varient en fonction du public car il y a des contes pour enfants, tout le monde le sait, et de contes pour adultes. Nos histoires se terminent toujours avec une morale, amusante, même si le conte est sérieux. On essaye de toucher les cordes sensibles de nos auditeurs qui, parfois, se transforment en acteur et jouent un rôle dans la narration.
- Vos contes appartiennent à la tradition corse ?
-Nos histoires sont pour la plupart celles qu’on retrouve dans la tradition corse mais on raconte le fole du monde entier et puis très souvent on retrouve la même histoire dans différents pays car les contes voyagent plus vite qu’on ne le croit. Par exemple ce matin à l’école Kallisté nous avons raconté des contes bilingues : dans la continuité de la narration le corse se fusionne spontanément au français pour donner lieu à une histoire amusante où les langues, comme let mots, peuvent voyager.
- On aimerait bien que ce soit pérennisé, bien sur. Cette année notre projet a été soutenus par les municipalités de Bastia et de Ville di Pietrabugno qui avec leur aide nous ont permis d’inviter des conteurs occitanes qui ont fait connaitre au public la culture traditionnelle d’une autre région.
- Quels sont les types d’histoire que vous racontez ?
- Tout d’abord, et c’est un choix délibéré, nous racontons que des contes positifs car il y a suffisamment des catastrophes pour que nous on en rajoutions derrière… Les thèmes varient en fonction du public car il y a des contes pour enfants, tout le monde le sait, et de contes pour adultes. Nos histoires se terminent toujours avec une morale, amusante, même si le conte est sérieux. On essaye de toucher les cordes sensibles de nos auditeurs qui, parfois, se transforment en acteur et jouent un rôle dans la narration.
- Vos contes appartiennent à la tradition corse ?
-Nos histoires sont pour la plupart celles qu’on retrouve dans la tradition corse mais on raconte le fole du monde entier et puis très souvent on retrouve la même histoire dans différents pays car les contes voyagent plus vite qu’on ne le croit. Par exemple ce matin à l’école Kallisté nous avons raconté des contes bilingues : dans la continuité de la narration le corse se fusionne spontanément au français pour donner lieu à une histoire amusante où les langues, comme let mots, peuvent voyager.